Elmer Bernstein introduit pour la première fois le jazz au cinéma comme élément dramatique. Le film s’ouvre par un générique (réalisé par Saul Bass) où se dessinent des lignes blanches en écho au sujet du film (la dépendance à la drogue). Les percussions qui ouvrent la partition immergent le spectateur dans le caractère désaxé du personnage (qui a par ailleurs des aspirations à jouer de la batterie). Les cuivres poursuivent cette scansion.
[© Texte : Cinezik] •
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