Compositeurs / Compositrices

Talents émergents

Récemment à l'affiche

Eloi Ragot



A l'affiche avec : Jour de merde (Film de Kevin T. Landry ).

Eloi Ragot signe la bande originale de la comédie noire québécoise de Kevin T. Landry, en utilisant un banjo et des percussions boisées pour illustrer la situation de Maude, une jeune mère célibataire au bord de la dépression, qui est partie dans la forêt pour interviewer le gagnant d'un gros montant à la loterie et qui s'avère être peu coopératif. Des cordes viennent s'ajouter pour maintenir la tension et accompagner l'évolution vers le thriller, tandis que des sonorités plus loufoques sont là pour rappeler le ton décalé.

Antoine Bodson



A l'affiche avec : Laissez-moi (Film de Maxime Rappaz ).

Antoine Bodson signe la musique du premier film suisse de Maxime Rappaz qui relate l'histoire d'une femme (Jeanne Balibar) déchirée entre son métier de couturière, son fils handicapé et ses désirs envers les hommes. La partition accompagne avec douceur le parcours intime du personnage, grâce à un délicat piano solo qui revient régulièrement et tisse le fil conducteur d'un récit elliptique. Le thème musical se reflète à l'écran avec un homme jouant du piano.

Emile Sornin



A l'affiche avec : La Nouvelle femme (Film de Léa Todorov ).

Emile Sornin signe la musique du drame historique franco-italien de Léa Todorov sur l'enseignement de Maria Montessori. On y entend des pièces de Mélanie Bonis, compositrice française contemporaine du personnage historique, figure importante de la musique française de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.

Camille Delafon



A l'affiche avec : Rien ni personne (Film de Gallien Guibert ).

Camille Delafon signe la musique du premier long métrage de Gallien Guibert, qui retrace l'histoire de Jean (Paul Hamy), un orphelin de naissance en cavale, laissant derrière lui sa femme et son enfant. La partition oscille entre la douceur d'un piano évoquant le berceau et la rugosité de textures ainsi que celle d'un violoncelle pour maintenir une tension inhérente à l'intrigue criminelle.

Clementine Charuel



A l'affiche avec : Cherry (Film de Sophie Galibert ).

Clementine Charuel signe la musique du premier film de Sophie Galibert et relate par ses notes délicates (piano, cordes) les sentiments d'une jeune femme qui apprend qu'elle est enceinte. La partition élabore une bulle autour du personnage en soutenant son désarroi et la perte d’une innocence avec un thème qui se déploie. Des sonorités angéliques et une présence vocale participent au ton fantasque, léger, au bord du conte. On y entend également des chansons originales ("Ride On The Sun" par Clémentine Charuel elle-même - au lancement du générique, et trois autres par Vita Levina).  

Adrien Casalis



A l'affiche avec : La tête froide (Film de Stéphane Marchetti ).

Adrien Casalis compose la musique du drame réalisé par Stéphane Marchetti, s'inspirant du travail de compositeurs tels que David Wingo (pour les films de Jeff Nichols), ou même Giorgio Moroder. Les ambiances électroniques aux motifs obsédants et à la rythmique tendue se mêlent aux cordes modifiées pour accentuer les chocs et la rugosité, et au piano intimiste, reflétant ainsi les tourments intérieurs de Marie (Florence Loiret-Caille), prise dans un engrenage dans les Alpes enneigées.

Eloi Ragot



A l'affiche avec : La saison du Verseau (Film de Esther Bernstorff ).

Eloi Ragot signe la musique de la série allemande de Esther Bernstorff.

Yannis Dumoutiers



A l'affiche avec : À Côté de Ses Pompes (Film de Nathalie Lecoultre ).

Yannis Dumoutiers signe la musique du téléfilm policier de Nathalie Lecoultre.

Raphaelle Thibaut



A l'affiche avec : Héros éternels : Indiana Jones & Harrison Ford (Film de Laurent Bouzereau ).

Raphaelle Thibaut signe la musique du documentaire de Laurent Bouzereau (qu'elle retrouve après "Mama's Boy", 2022) qui revient sur la carrière d'Harrison Ford et celui de son personnage de prédilection : Indiana Jones. 

Damien Deshayes



A l'affiche avec : Littoral Normand, Amour Insolent (Documentaire TV (52min) de Simon P. R. Bewick ).

Damien Deshayes retrouve Simon P. R. Bewick après "Ne pas nous déranger, nous sommes en séance" (2020) dans le cadre de ce documentaire qui explore l'occupation humaine du littoral normand, offrant ainsi un regard poétique et engagé sur cette région côtière. La musique comprend un quintette à cordes et un quintette à vents (violon, alto, violoncelle, clarinette basse et cor additionnels) provenant du Budapest Symphony Orchestra.

Sam Slater



A l'affiche avec : Railway Men : Les héros de Bhopal (Série de Shiv Rawail ).

Sam Slater signe la musique de la série historique indienne de Shiv Rawail. 

Andrea Boccadoro



A l'affiche avec : Avant que les flammes ne s'éteignent (Film de Mehdi Fikri ).

Andrea Boccadoro compose la musique de ce drame policier, premier film de Mehdi Fikri, avec Julia Kotarba (violoncelle), Ben Hancox (violon), Gabriele Opacka-Boccadoro (violon), Ann Beilby (alto), Richard Harwood (violoncelle), Leon Bosch (contrebasse), pour soutenir de manière obsessionnelle le combat judiciaire de Malika - Camélia Jordana - après la mort de son petit frère lors d'une interpellation policière, reflétant à la fois sa détermination et son inquiétude, teintée d'une lourde gravité. Un motif lancinant et un piano éparse marquent la lente avancée de l'enquête. On y entend également une chanson traditionnelle kabyle de El Hamid Cheriet, de la musique persane instrumentale, de l'ambient électronique de Loscil, de la pop douce de Mark G Hart et Stephen Emil Dudas, de l'expérimentation fusion arabe de Bachar Mar-Khalifé, et de la soul.

Valentin Couineau



A l'affiche avec : Little Girl Blue (Film de Mona Achache ).

Valentin Couineau signe la musique du docu-fiction de Mona Achache qui raconte l'histoire douloureuse de sa mère, suicidée en 2016, à travers sa voix issue d'enregistrements audio, et le corps ainsi que le visage de l'actrice Marion Cotillard qui "interprète" en playback ses paroles. La composition musicale esquisse le hors champs évoqué par les témoignages et rend poignantes les confessions, allant de la nostalgie à l'angoisse. Elle associe un quatuor à cordes avec un violoncelle expressif à un piano, une clarinette, des instruments à vent et des percussions. La chanson de Janis Joplin, qui donne son titre au film ("Little Girl Blue", 1969), est présente au générique de fin.

Yannis Dumoutiers



A l'affiche avec : Master Crimes (Série de Elsa Marpeau ).

Yannis Dumoutiers ("HPI") signe la musique de la série policière de Elsa Marpeau.

Emile Sornin



A l'affiche avec : Simple comme Sylvain (Film de Monia Chokri ).

Emile Sornin retrouve Monia Chokri sur cette comédie romantique québécoise après "Babysitter" (2022). Le film traite d'une professeure de philosophie (Magalie Lépine Blondeau) dont la relation avec Xavier (Francis-William Rhéaume) est mise en péril le jour où elle rencontre le charpentier de leur maison, Sylvain (Pierre-Yves Cardinal). La partition embrasse pleinement la romance dans un style pop orchestral des années 70, agrémenté d'une flûte traversière qui oscille entre gravité et joie. Les notes relatent la désagrégation d'un couple tout en capturant le coup de foudre et l'ascension d'un désir. On y entend également des ballades rock de Scorpions et Linda Ronstadt, des chansons francophones avec Michel Sardou et Robert Charlebois, des chansons arabes d'Oum Kalthoum et Warda, le rap de Morad, le jazz de Thelonious Monk, et aussi une pièce classique pour flûte de Francis Poulenc.

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