L'Idéal (2016)

• Frédéric Beigbeder • • Au cinéma le 15-06-2016 •

• Musique originale composée par Artistes variés

• Elise Luguern / Explosante Fixe (Supervision musicale)

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Frédéric Beigbeder convoque divers artistes dans son second film après avoir fait appel à Martin Rappeneau sur son premier film "L'Amour dure trois ans".

Sortie de la BO

Album • Légende Films (10 juin 2016)

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Tracklist (de la BO en CD ou Digital)
1 - Susie-Q - de José Feliciano - 5:06
2 - The Subordinate - de Lisa Gerrard, Pieter Bourke - 1:19
3 - Rain - de Demo - 3:48
4 - Take a Walk (feat. Soom T) - de Tom Fire - 2:58
5 - Emerge - de Fischerspooner - 3:29
6 - Rusalka "Mesicku" - de Subrtova, Orchestre du Théâtre National de Prague, Chalabala - 8:06
7 - Song to the Moon (From "Rusalka") - de Amira Willighagen - 5:14
8 - Bochka, Bass, Kolbaser - de XS Project - 3:37
9 - Broken Robots - de Soom T - 3:21
10 - Vremya Pohudet' - de Dzhigan - 3:06
11 - Putin Lights up the Fires - de Pussy Riot - 2:36
12 - ? - de Timati - 4:16
13 - Suite De Casse-Noisette, Op. 71a: VIII. "Valse Des Fleurs", Tempo Di Valse - de Anima Eterna Brugge - 6:46
14 - ? - de L'One - 3:05
15 - Parallels - de Eels - 3:14
16 - My Girl - de The Jesus And Mary Chain - 3:06
17 - Chant des partisans - de Les Ch?urs De L'Armée Rouge - 2:18
18 - L'idéal (Title Song) - de Anaïs Delva - 3:30
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Autour de cette BO

Superviseurs : Elise Luguern

Propos du réalisateur

Sur L'AMOUR DURE 3 ANS, je m'étais bien amusé à faire composer une partition à Martin Rappeneau. Mais pour L'IDÉAL, j'ai voulu me la jouer à la Tarantino en composant une bande musicale uniquement à partir de morceaux de ma play-list. Cela correspond bien au sujet, à l'idée qu'on recycle tout. Y compris la musique des autres. Certains titres me sont venus dès l'écriture, ce qui m'a permis de les diffuser sur le plateau au moment du tournage de la scène. C'est le cas pour le prégénérique : Suzie Q de José Feliciano, qui était une chanson que mon père passait dans ses soirées. Pareil pour le morceau des Pussy Riot à la soirée chez Sacha, Barbie Girl en version acoustique à la fin et bien sûr La Rusalka, l'opéra de Dvorak qui était carrément mentionné dans le scénario. À trois reprises, on entend l'air de cet opéra intitulé La Chanson à la Lune : quand il est sous la douche, lorsqu'il raconte son rêve de Samara et bien sûr quand il plonge pour la sauver. L'héroïne s'y adresse à la Lune et lui dit « Toi qui rentre dans toutes les maisons, dis-moi où est mon amoureux. » Cette phrase me met les larmes aux yeux, je la trouve déchirante de romantisme. C'est sur cet air que le film passe du second degré au premier.