B.O de Palme D'Or : UN HOMME ET UNE FEMME (1966) de Claude Lelouch.
B.O culte du cinéma d'animation: CORALINE (2009) de Henry Selick.
B.O culte exploitant le potentiel de la musique électronique : MIDNIGHT EXPRESS (1978) de Alan Parker.
B.O culte du cinéma d'animation : LE ROI ET L'OISEAU (1980) de Paul Grimault.
B.O de Palme D'Or : PARIS TEXAS (1984) de Wim Wenders.
B.O culte exploitant le potentiel de la musique électronique : BLADE RUNNER (1982) de Ridley Scott.
A l’heure où Hollywood nous assomme de ses blockbusters à répétition (Aquaman, X-Men, Avengers, Spider-Man, Justice League, Captain Marvel, Ant-Man, Shazam… pour ne citer que ceux-là) dans lesquels la musique s’oublie aussi rapidement que le numéro de l’opus cinématographique, il est plus que jamais nécessaire de se souvenir de certaines pépites rares comme « Le Roi et l’oiseau », l’œuvre de toute une vie : celle de Paul Grimault et de ses compositeurs Joseph Kosma et Wojciech Kilar.
B.O culte du cinéma d'animation: INDESTRUCTIBLES (2004) de Brad Bird.
B.O culte du cinéma d'animation des années 80 à 2000, avec celle de AZUR & ASMAR (2006) de Michel Ocelot.
B.O culte électronique : PLANÈTE INTERDITE, musique de Louis et Bebe Barron, les précurseurs.
John Carpenter signe la musique de son troisième film après DARK STAR et ASSAULT.
B.O culte du cinéma d'animation des années 80 à 2000, avec celle de AKIRA (1988) de Katsuhiro Ôtomo.
Signs (Signes) est le troisième film de M. Night Shyamalan, réalisateur prodige de Sixth Sense (Sixième Sens). Plus ou moins réussi, ce film prend comme prétexte une invasion extraterrestre pour discuter de la foi et de la fatalité : l'apparition de mystérieux dessins dans des champs bouleversent ici les certitudes d'une famille américaine qui semble avoir perdu ses repères (notamment celui que représente la figure maternelle) . La musique de James Newton Howard transcende littéralement le film de Shyamalan. Elle a marqué les béophiles, qui ont reconnu notamment en « The Hand Of The Fate I » l'une des belles orchestrations de cette dernière décennie (même un groupe de rap a repris ce motif pour accompagner leurs textes). Le « Main Title », orchestré par Pete Anthony, esquisse admirablement cette apothéose : c'est ce petit bijou musical que nous nous proposons d'analyser en détail, en suivant l'ordre chronologique des évènements.
B.O de Palme D'Or : LA LEÇON DE PIANO (1993) de Jane Campion.
A l'occasion du discret et très exigeant 4e festival du film d'animation de Courthézon (Vaucluse) durant lequel la conférence d'où découle le présent article a été donnée (février 2020), célébrons ce qui reste l'un des joyaux absolus de la firme Disney : « Fantasia ». Films aux multiples facettes et dont le succès ne se dément pas depuis quatre-vingt ans, « Fantasia » apparaît comme l'enfant sacré du réalisateur, la perle rare, le film inclassable ne rentrant dans aucune case sinon la sienne. Proposons quelques clefs d'analyse pour cette musique à l'écran, ce film musicalisé, cette osmose entre les deux. Les mots sont-ils suffisants ?
B.O de Palmes D'Or : L'ETERNITE ET UN JOUR (1998) de Theo Angelopoulos.
B.O de Danny Elfman : BATMAN, LE DÉFI / BATMAN RETURNS (1992) de Tim Burton.
Olivier Arson s’était lancé dans la bande originale avec QUE DIOS NOS PERDONE (2017), de Rodrigo Sorogoyen. Sa nouvelle collaboration avec le réalisateur espagnol sur le thriller politique EL REINO, est un succès qui lui vaut un Goya de la meilleure musique en 2019.
Après "Sixième Sens" et "Incassable", M. Night Shyamalan retrouve pour la troisième fois le compositeur James Newton Howard sur la musique de Signes. Voici l'analyse musicale, en vidéo et par écrit, de Martin Mavilla.
B.O cultes du cinéma d'animation: VALSE AVEC BACHIR (2008) de Ari Folman.
A l'occasion de la sortie en salles d'Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, impossible de passer outre une petit rétrospective musicale des films précédents, tous évidemments mis en musique par John Williams et réalisés par Steven Spielberg. Ces trois films sont un peu à part dans leur filmographie, car lorgnant constamment sur le registre de l'aventure pure et dure, du divertissement, voire même vers le film de genre (les autres oeuvres de Spielberg se voulant plus engagées ou nostalgiques).
B.O de Danny Elfman : EDWARD AUX MAINS D'ARGENT (1991) de Tim Burton
A l'occasion de la sortie en salles d'Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, impossible de passer outre une petit rétrospective musicale des films précédents, tous évidemments mis en musique par John Williams et réalisés par Steven Spielberg. Ces trois films sont un peu à part dans leur filmographie, car lorgnant constamment sur le registre de l'aventure pure et dure, du divertissement, voire même vers le film de genre (les autres oeuvres de Spielberg se voulant plus engagées ou nostalgiques).
De toutes les musiques de films composées par Ennio Morricone, celle pour le film MISSION de Roland Joffé en 1986 a durablement marqué les esprits. Au-delà des éloges dont cette musique fait toujours l'objet, on peut s'interroger sur ce qui en constitue la singularité musicale. Musique complexe et subtile ? A la croisée des chemins entre musique occidentale et amérindienne ? Musique fédératrice pour une société utopique ? Manifestation d'une conception du divin fondamentale pour le maestro ? Peut-être tout à la foi. Analyse.
B.O de Danny Elfman : "Sleepy Hollow" (1999) de Tim Burton.
B.O culte du cinéma d'animation: ROI LION (1994) de Roger Allers & Rob Minkoff.
John Carpenter retrouve le pupitre de son cinéma avec cette adaptation de Stephen King.
B.O culte exploitant le potentiel de la musique électronique : SOLARIS de Andrei Tarkovsky.
B.O de Palme D'Or : PARAPLUIES DE CHERBOURG (1964) de Jacques Demy.
B.O culte du cinéma d'animation: ALADDIN (1988) de Ron Clements et John Musker.
B.O culte du cinéma d'animation: MON VOISIN TOTORO (1988) de Hayao Miyazaki.
Wendy Carlos retrouve Stanley Kubrick après "Orange Mecanique" et ses sonorités electroniques pour cette adaptation de Stephen King.
B.O culte exploitant le potentiel de la musique électronique : VIRGIN SUICIDES (1999) de Sofia Coppola.
A l'occasion de la sortie en salles d'Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, impossible de passer outre une petit rétrospective musicale des films précédents, tous évidemments mis en musique par John Williams et réalisés par Steven Spielberg. Ces trois films sont un peu à part dans leur filmographie, car lorgnant constamment sur le registre de l'aventure pure et dure, du divertissement, voire même vers le film de genre (les autres oeuvres de Spielberg se voulant plus engagées ou nostalgiques).
Alexandre Desplat compose pour la première fois pour Roman Polanski et succède ainsi à Krzysztof Komeda, Philippe Sarde, Wojciech Kilar, Jerry Goldsmith et Rachel Portman dans l'oeuvre du cinéaste.
"Batman, le défi", sorti en 1992, marque la cinquième collaboration entre Tim Burton et Danny Elfman après "Pee Wee" (1987), "Beetlejuice" (1988), "Batman" (1989) et "Edward aux Mains d'Argent" (1991). Dans cet épisode de la saga, Batman affronte le Pingouin et Catwoman. Voici l'analyse musicale, en vidéo et par écrit, de Martin Mavilla.
B.O culte exploitant le potentiel de la musique électronique : LA PLANÈTE SAUVAGE (1973) de René Laloux.
En 2007, Sébastien Tellier avait déjà composé la bande originale de NARCO (2004) et SebastiAn allait s’atteler à celle de NOTRE JOUR VIENDRA (2010). Les deux artistes rejoignent la seule et même personne que sont Mr.Oizo (artiste électro avec deux albums à son actif) et Quentin Dupieux (le réalisateur) pour son premier long-métrage de cinéma.
BARRY LYNDON n'ayant eu aucun succès économique, Stanley Kubrick choisit d'être prudent et préfère adapter une valeur sûre : un manuscrit du troisième roman du nouveau maître de l'horreur, Stephen King, que lui a envoyé la MGM : SHINING. Le réalisateur collabore cette fois pendant trois mois avec Diane Johnson, critique et professeur de littérature à Berkeley, pour réécrire le roman de King, qui en ressort profondément modifié. SHINING est devenu une épure kafkaïenne, réaliste, presque anecdotique, mais truffée de références psychanalytiques.
B.O culte exploitant le potentiel de la musique électronique : AGUIRRE, LA COLÈRE DE DIEU (1972) de Werner Herzog.
B.O culte du cinéma d'animation: L'ETRANGE NOËL DE MR. JACK (1988) de Tim Burton.
Bernard Herrmann écrit cette partition culte de PSYCHOSE pour son fidèle réalisateur Alfred Hitchcock un an après VERTIGO (1958) et LA MORT AUX TROUSSES (1959). Bernard Herrmann élabore sa partition en utilisant toute les nuances de cordes. Le générique concentre les motifs du film. Des cordes stridentes et saccadées pour illustrer le meurtre se juxtaposent à des cordes amples et en mouvement pour illustrer la cavale. Ce prélude revient lorsque Marion conduit sous la pluie torrentielle. Les cordes aiguës sont convoquées dans leur dénuement lors de la fameuse scène de la douche ("Murder").
B.O cultes du cinéma d'animation: PETIT DINOSAURE ET LA VALLÉE DES MERVEILLES (1988) de Don Bluth.
Première collaboration de Pino Donaggio avec Brian De Palma sur cette adaptation de Stephen King.
Plongeons-nous dans la genèse musicale du diptyque GREMLINS de Joe Dante avec l'analyse des différents thèmes et motifs de la partition de Jerry Goldsmith.
B.O de Palme D'Or : LA CHAMBRE DU FILS (2001) de Nanni Moretti, dernière Palme en date à contenir une partition originale de premier plan.
B.O culte du cinéma d'animation: BASIL DÉTECTIVE PRIVÉ (The Great Mouse Detective, 1985) de Ron Clements.
C’est deux ans après son premier album que l’auteure-compositrice-interprète Émilie Simon se voit entrer dans l’univers de la bande originale avec LA MARCHE DE L’EMPEREUR. Avec ce travail singulier plein de fantaisie et de mélancolie, elle reçoit une Victoire de la musique et récolte une nomination aux César en 2006. Le documentaire de Luc Jacquet lui donne l’inspiration d’une musique électro-pop mixant des sons similaires à ceux du film.
B.O culte du cinéma d'animation: TARAM ET LE CHAUDRON MAGIQUE (The Black Cauldron, 1985) de Ted Berman et Richard Rich.
B.O de Palme D'Or: TROISIÈME HOMME (1949) de Carol Reed.
Plongeons-nous dans la genèse musicale du diptyque GREMLINS de Joe Dante avec l'analyse des différents thèmes et motifs de la partition de Jerry Goldsmith.
B.O culte du cinéma d'animation : GHOST IN THE SHELL (1995) de Mamoru Oshii.
B.O culte exploitant le potentiel de la musique électronique : CONVOI DE LA PEUR (1977) de William Friedkin.
B.O de Palme D'Or : MISSION (1986) de Roland Joffe.
Henri Verneuil en profite pour retrouver sur « Peur sur la ville » l'un de ses fidèles complices, le compositeur Ennio Morricone, qui signe une partition sombre, mystérieuse et entêtante pour le long-métrage. Rappelons que Verneuil a collaboré avec quelques uns des plus grands compositeurs de l'époque : Joseph Kosma (« Des gens sans importance »), Michel Legrand (« Les amants du Tage »), Maurice Jarre (« Le Président », « Week-end à Zuydcoote »), Michel Magne (« Un singe en hiver », « Mélodie en sous-sol »), Georges Delerue (« Cent mille dollars au soleil », « Les Morfalous »), Georges Garvarentz (« Les lions sont lâchés »), Philippe Sarde (« Mille milliards de dollars »), Jean-Claude Petit (« Mayrig »), etc.
Thomas Newman signe la musique de ce drame carcéral, premier film de Franck Darabont, qu'il retrouvera ensuite sur "La ligne verte" (1999), autre adaptation de Stephen King.
B.O culte exploitant le potentiel de la musique électronique : ASSAUT (1976) de John Carpenter.
Le projet pouvait faire peur: un film Pixar sur la culture mexicaine et la musique. Difficile de ne pas redouter un mauvais pastiche de musique traditionnelle bourré de guitare et de maracas. Mais Michael Giacchino, un des compositeurs les plus en vue de ces dix dernières années (Star Trek into darkness, Jurassic World, Docteur Strange, Spiderman :Homecoming..), n'est pas tombé dans cet écueil. Il a même réussi son pari avec brio.
B.O de Palme D'Or : CONVERSATION SECRÈTE (1974) de Francis Ford Coppola.
B.O culte du cinéma d'animation: CHICKEN RUN (2000) de Nick Park.
Unique collaboration entre Jerry Goldsmith et le réalisateur franco-polonais Roman Polanski pour ce film noir avec Jack Nicholson et Faye Dunaway.
B.O de Palme D'Or : TAXI DRIVER (1976) de Martin Scorsese.
LA GRANDE ILLUSION est la première musique complète de Joseph Kosma sur un film de Jean Renoir, leur précédente collaboration sur LE CRIME DE MONSIEUR LANGE n’ayant donné naissance qu’à une chanson. Voici le point de vue de Thibault Vicq sur cette partition.
B.O cultes du cinéma d'animation : BRISBY ET LE SECRET DE NIMH (1982) de Don Bluth.
8e collaboration entre le compositeur John Williams et le cinéaste Steven Spielberg pour leur second film ayant pour cadre la deuxième guerre mondiale.
Michael Kamen
Jerry Goldsmith
James Horner
James Horner
Jerry Goldsmith
Trevor Jones
Carter Burwell
Ennio Morricone
John Williams
Patrick Doyle
Miklos Rozsa
James Horner
Cliff Martinez
Elmer Bernstein
John Williams
Cécile Corbel
John Williams
Alan Silvestri
Michael Kamen
Joe Hisaishi
Alan Silvestri
John Williams
Alex North
Abigail Mead
Georges Delerue
Leonard Rosenman
Variés
Maurice Jarre
Michael Nyman
Wojciech Kilar
Ennio Morricone
Jerry Goldsmith
Jerry Goldsmith
John Barry
John Barry
Howard Shore
Howard Shore, Ornette Coleman
Howard Shore
Howard Shore
Gérald Fried
Hans Zimmer
John Powell
Christopher Young
John Williams
Bernard Herrmann
Didier Lockwood
Hans Zimmer
Hans Zimmer
Hans Zimmer, Lisa Gerrard
Basil Poledouris
Basil Poledouris
Basil Poledouris
Basil Poledouris
Basil Poledouris
Ennio Morricone
Ennio Morricone
Ennio Morricone
Mark Isham
Eric Serra
Elmer Bernstein
Gustavo Santaolalla
John Williams
Lalo Schifrin
Cliff Martinez
Alan Silvestri
Jerry Goldsmith
Jerry Goldsmith
Georges Delerue
Don Davis
Harry Gregson-Williams
Christopher Young
John Williams
Joe Hisaishi
Harry Gregson-Williams
Maurice Jarre
Philippe Rombi
Kenji Kawai
Max Steiner
Franz Waxman
Basil Poledouris
Hans Zimmer
Jerry Goldsmith
Jon Brion
Philip Glass
Kenji Kawai
Elliot Goldenthal
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