Erik Nordgren retrouve son compatriote suédois Ingmar Bergman pour la 6ème fois depuis leur rencontre sur "La fontaine d'Aréthuse" (1949) avec une partition de cordes (harpe), de cuivres et de percussions (timbales). Pour cette comédie, un registre rare chez le cinéaste, le compositeur propose sa plus importante participation à un film de Bergman (alternant un pastiche de can-can, une gavotte ironique ou encore un léger menuet). On y entend également des airs classiques de Schumann (ufschwung, Opus 12, Nr. 2), Chopin (fantasie-Impromptu, Opus 66), Liszt (Liebestraum, Opus 62, Nr. 3), Mozart (Don Giovanni).
[© Texte : Cinezik] •
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