A l'affiche avec : KPop Demon Hunters (Film de Chris Appelhans, Maggie Kang ).
Marcelo Zarvos signe la musique du film d'animation de Chris Appelhans & Maggie Kang. On y entend par ailleurs un mélange éclectique de K-Pop moderne avec des groupes comme EXO, TWICE, et SUPER JUNIOR, des morceaux plus anciens des années 90 avec DEUX et Seotaiji and Boys, ainsi que des titres contemporains interprétés par EJAE, Audrey Nuna, et REI AMI.
A l'affiche avec : The Waterfront (Série de Kevin Williamson ).
John Frizzell signe la musique de la série thriller de Kevin Williamson qu'il retrouve après "The Following" (2014).
A l'affiche avec : Une amitié dangereuse (Série de Alain Tasma ).
Cyrille Aufort signe la musique de la série historique de Alain Tasma.
A l'affiche avec : The Return, le retour d'Ulysse (Film de Uberto Pasolini ).
Rachel Portman retrouve son mari Uberto Pasolini après "Une belle fin" (2015) pour un drame psychologique proposant une variation austère de l'Odyssée, qui relate le retour d'Ulysse (Ralph Fiennes) à Ithaque et sa confrontation avec les prétendants qui assiègent sa femme Pénélope (Juliette Binoche).. La partition est ici le monologue intérieur d'Ulysse, un soldat méconnaissable, meurtri physiquement et mentalement par vingt ans de guerre. Construite autour d'un motif descendant de deux notes au hautbois, la musique devient un paysage musical brut et psychologiquement pénétrant, reflétant le traumatisme inexprimé du héros.
A l'affiche avec : Elio (Film de Adrian Molina, Madeline Sharafian, Domee Shi ).
Rob Simonsen signe la musique du film d'animation de science-fiction de Adrian Molina, Madeline Sharafian, Domee Shi, premier film Pixar pour lequel il participe, qui relate l'histoire d'Elio, un jeune garçon solitaire et imaginatif qui, après avoir été transporté dans le Communiverse, est confondu avec l'ambassadeur de la Terre. Face à d'excentriques formes de vie extraterrestres, il doit nouer des liens, surmonter des épreuves et trouver sa véritable place dans l'univers, une quête d'appartenance magnifiée par une musique grandiose et variée. La partition unifie les deux visions du film (l'épopée de science-fiction sombre et l'aventure familiale légère). Le compositeur déploie sa dualité stylistique, mêlant la grandeur orchestrale, les textures électroniques pour dépeindre l'immensité de l'espace, et une chaleur mélodique centrée sur le piano pour traduire les émotions intimes du personnage.
A l'affiche avec : Maya, donne-moi un autre titre (Film de Michel Gondry ).
Jean-Michel Bernard retrouve Michel Gondry sur le second opus de cette chronique d'animation après "Maya, donne-moi un titre" (2024).
A l'affiche avec : La Tournée (Film de Florian Hessique ).
Raphaël Dargent retrouve Florian Hessique sur cette comédie après "La Légende" (2018) et "L'Instant présent" (2021). Le film suit Marius de Villeduc (Patrick Chesnais), un acteur acculé par les dettes après une longue traversée du désert, qui se voit contraint d'accepter le rôle principal du nouveau film de Richard Favard (Florian Hessique), un acteur-réalisateur prometteur. Pour toucher l'intégralité de son cachet, il a une seule obligation : participer à la tournée d'avant-premières. Aux côtés de Richard, Colette et Lulu, Marius se lance alors bien malgré lui sur les routes de France dans un road-movie chaotique et haut en couleur.
A l'affiche avec : America's Sweethearts: Dallas Cowboys Cheerleaders (Série de Greg Whiteley ).
Zach Robinson retrouve Greg Whiteley après "Le Catch dans la peau" (2023) sur cette série documentaire.
A l'affiche avec : Echo Valley (Film de Michael Pearce ).
Jed Kurzel retrouve Michael Pearce après "Encounter" (2021) sur ce thriller.
A l'affiche avec : Tout pour la lumière (Série de Coline Assous, Yentl Coubes, Maxime Cormier ).
Matteo Locasciulli signe la musique de la série dramatique française de Coline Assous, Yentl Coubes, Maxime Cormier située à La Ciotat, près de Marseille, et suit de jeunes artistes (Joy Esther, Lannick Gautry, Prudence Leroy) qui s'entraînent durement dans l'espoir de réaliser leurs rêves et de vivre jusqu'au bout leur passion pour la musique et la danse, et devront surmonter les sacrifices et dépasser les rivalités pour devenir les meilleurs. La chanson titre est composée par Tristan Salvati.
A l'affiche avec : Fubar (Série de Nick Santora ).
Tony Morales retrouve Nick Santora sur cette série d'espionnage après "Reacher" (2022).
A l'affiche avec : Querer (Série de Alauda Ruiz de Azúa ).
Fernando Velázquez signe la musique de la série espagnole de Alauda Ruiz de Azúa.
A l'affiche avec : Deep Cover (Film de Tom Kingsley ).
Daniel Pemberton signe la musique de la comédie d'action de Tom Kingsley.
A l'affiche avec : Crasse (Film de Luna Carmoon ).
Jim Williams signe la musique du drame social britannique de Luna Carmoon, pour son premier long-métrage. L'histoire suit Maria, d'abord enfant (Lily-Beau Leach) dans les années 80, vivant un amour singulier avec sa mère Cynthia (Hayley Squires) dans un monde fait de trésors accumulés compulsivement. Après que ce monde a basculé, on la retrouve adolescente (Saura Lightfoot-Leon) dans les années 90, en famille d'accueil. L'arrivée de Michael (Joseph Quinn), lui-même un ancien enfant placé, ravive ses blessures enfouies et les entraîne dans une relation obsessionnelle. La partition s'inspire des bandes originales des années 70, notamment celle du thriller "I Start Counting" (John A. Coleman), créant un certain anachronisme, s'éloignant des sonorités des années 80 et 90 (périodes du récit), soulignant l'état mental déconnecté du réel de la protagoniste. La musique navigue entre des thèmes oniriques (à la flûte) pour l'innocence du monde de l'enfance, et des textures plus troublantes pour explorer la frontière ténue entre la magie et la folie qui définit la psyché tourmentée de l'héroïne.
A l'affiche avec : Dragons (Film de Dean DeBlois ).
John Powell retrouve Dean DeBlois après "Dragons 2" (2014) et "Dragons 3: le monde caché" (2019), ainsi que l'univers des dragons pour cette adaptation en live-action (images réelles).
A l'affiche avec : The Life of Chuck (Film de Mike Flanagan ).
The Newton Brothers retrouve Mike Flanagan pour la onzième fois ("Doctor Sleep", "The Haunting of Hill House", "Ouija: les origines"…) sur ce drame fantastique adapté de Stephen King sur Charles "Chuck" Krantz (Tom Hiddleston), dont la vie est racontée à rebours en trois actes, depuis sa mort dans un monde apocalyptique jusqu'à son enfance dans une maison supposément hantée. La partition, mêlant cordes éthérées et piano mélancolique, crée une enveloppe protectrice et introspective dans la première partie comme pour représenter un au-delà, que l'on retrouve ensuite régulièrement pour unifier le récit non-linéaire par une tonalité homogène, soutenant un parcours intime, et une réflexion sur le sens de la vie face à l'inévitable. La musique, majoritairement électronique, évoque les partitions personnelles de James Horner des années 80 et 90, telles que "Jusqu'au bout du rêve" (Field of Dreams). Une autre influence marquante, et plus surprenante, est celle de Maurice Jarre et de son travail sur les synthétiseurs dans les années 80. Le thème principal, une douce mélodie de piano aux allures de berceuse, apparaît de manière récurrente, de l'ouverture "The Sidle of Evening" à des morceaux plus chaleureux comme "Emergency Broadcast System" ou le touchant "It Works". Les compositeurs déconstruisent souvent ce thème pour n'en garder que la structure harmonique, voire une simple note de piano répétée sur un fond de nappes synthétiques diffuses. Cette technique crée un sentiment d'inévitabilité magique. L'instrumentation est complétée par de rares mais poignantes interventions de cordes réelles, comme dans "Get In Here", ajoutant une fragilité organique à l'ensemble. D'autres musiques (préexistantes) interviennent avec vigueur dans la narration lors de séquences de danses, celle spontanée dans la rue, où Chuck se laisse emporter par le rythme enivrant d'une musicienne de rue à la batterie ("Joy" interprété par la percussionniste Taylor Gordon - The Pocket Queen), dans le chapitre 2, lui rappelant son enfance (ce qu'on découvre en acte 1) lorsqu'il dansait avec sa mère sur "Dance Hall Days" de Wang Chung. La danse revient lors d'un cours de danse ("My Sharona" de The Knack) ou en compagnie d'une camarade lors d'un bal ("Gimme Some Lovin' " de Steve Winwood). Ces pastilles de vie éparses célébrent les "multitudes" contenues en chacun de nous, illustrant le thème central du film : une vie, même la plus ordinaire, peut receler une richesse et des moments de beauté infinie. De même, l'utilisation de la chanson traditionnelle "The Parting Glass" en clôture, interprétée par Gregory Alan Isakov, ancre le film dans une tradition d'adieu et de mémoire collective, soulignant avec sobriété les thèmes du souvenir et de la séparation.
A l'affiche avec : Vacances forcées (Film de François Prévôt-Leygonie, Stephan Archinard ).
Matthieu Gonet retrouve le duo de réalisateurs François Prévôt-Leygonie & Stephan Archinard après "Monsieur Je-sais-tout" (2018) et "Tout Schuss" pour cette comédie. Le film relate le choc des cultures entre deux familles que tout oppose, forcées de cohabiter dans une sublime maison de vacances. La partition mêle des mélodies légères de jazz manouche, propices au calme estival, à des pièces plus orchestrales pleines de tendresse, célèbrant l'esprit des congés, sans prendre part à la confrontation à l'œuvre, marquant ainsi son ironie. Le compositeur signe la chanson originale "Sempre Noi" interprétée par Flo Malley. On y entend également "La Ballade des gens heureux" de Gérard Lenorman.
A l'affiche avec : Le Remplaçant (Série de Nicolas Guicheteau ).
Guillaume Roussel signe la musique de la série de Nicolas Guicheteau en milieu scolaire avec Joey Starr dans le rôle du remplaçant.
A l'affiche avec : Predator: Killer of Killers (Film de Dan Trachtenberg, Josh Wassung ).
Benjamin Wallfisch signe la musique du film de science-fiction d'animation et d'horreur de Dan Trachtenberg, co-réalisé par Josh Wassung, qui relate le combat de trois des plus grands guerriers de l'histoire de l'humanité (une Viking, un ninja du Japon féodal et un pilote de la Seconde Guerre mondiale) face au tueur des tueurs. Le compositeur s'est imposé comme une valeur sûre pour insuffler une nouvelle vie musicale aux grandes franchises, comme en témoignent ses travaux sur Twister, Alien ou Mortal Kombat. Avec Predator, il réitère cet exploit en démontrant une profonde compréhension de l'héritage de la saga, tout en y apportant sa propre signature moderne et percutante. Plutôt que de simplement citer le thème principal de Alan Silvestri, Wallfisch utilise l'emblématique rythme à six notes du prédateur comme un véritable fil conducteur. Tissé à travers toute la partition, ce motif est constamment réinventé, sa pulsation et son orchestration variant pour s'adapter à chaque époque et à chaque affrontement. Enregistrée à Vienne avec le puissant Synchron Stage Orchestra, la musique combine la richesse des cordes et la puissance des cuivres avec des textures électroniques agressives, créant une palette sonore qui honore le passé tout en étant résolument ancrée dans une esthétique contemporaine. Chaque segment du film d'anthologie bénéficie d'une identité musicale distincte. Pour le chapitre viking, Wallfisch déploie une musique brutale et gutturale, dominée par des marches sombres, des percussions implacables et l'intégration d'instruments et de voix d'inspiration nordique. À l'inverse, la section se déroulant dans le Japon féodal de 1609 est caractérisée par une élégance. Les flûtes lyriques, les cordes agiles et l'utilisation de sonorités évoquant le koto ou le shamisen accompagnent la furtivité des ninjas, avant que le motif menaçant du Prédateur ne vienne s'infiltrer et corrompre cette atmosphère raffinée. Le troisième récit, centré sur un pilote de chasse durant la bataille de l'Atlantique, illustre une parfaite progression dramatique. La musique débute sur des thèmes aériens et optimistes, incarnant le rêve de voler du héros, avant de basculer dans une violence sonore inouïe lors des combats aériens contre le vaisseau extraterrestre. Wallfisch y déchaîne des textures orchestrales primales, des drones électroniques écrasants et des cris vocaux déshumanisés pour traduire la terreur technologique de l'ennemi. Le finale, se déroulant sur la planète Yautja Prime, synthétise ces différentes ambiances. Des chœurs grandioses accompagnent le combat des gladiateurs tout en réintégrant les signatures musicales de chaque culture (sonorités nordiques, flûtes japonaises) lorsque l'action se concentre sur l'un des guerriers humains.
A l'affiche avec : K.O. (Film de Antoine Blossier ).
Thomas Couzinier signe la musique du film d'action de Antoine Blossier.
A l'affiche avec : À bout (Film de Tyler Perry ).
Dara Taylor signe la musique du thriller américain de Tyler Perry qui suit une mère célibataire, Janiyah (interprétée par Taraji P. Henson), dont le monde bascule dans le chaos alors qu'elle lutte pour prendre soin de sa fille malade. Poussée à bout par un monde qui semble indifférent à son existence, elle est contrainte de faire des choix impossibles dans une société qui ne lui offre aucune sécurité. On y entend par ailleurs un mélange de hip-hop contemporain avec des artistes comme Glorilla et Ice Cube, de la soul classique avec Aretha Franklin, et du R&B moderne avec Ledisi et Aimme, traversant les décennies des années 60 à aujourd'hui.
A l'affiche avec : Graduation Trip: Mallorca (Film de Paco Caballero ).
Clara Aguilar signe la musique du film espagnol de Paco Caballero.
A l'affiche avec : Stick (Série de Jason Keller ).
Zachary Dawes signe la musique de la série sportive de Jason Keller.
A l'affiche avec : Le Répondeur (Film de Fabienne Godet ).
Eric Neveux signe la musique de la comédie de Fabienne Godet qui met en scène Baptiste Mendy (Salif Cissé), un imitateur de talent qui peine à vivre de son art. Sa vie prend un tournant inattendu lorsqu'il est approché par Pierre Chozène (Denis Podalydès), un romancier célèbre mais discret, constamment dérangé par les appels de son entourage, notamment sa fille Elsa (Clara Bretheau) et son ex-femme Clara (Aure Atika). Pierre, ayant besoin de calme pour écrire son texte le plus ambitieux, propose à Baptiste de devenir son « répondeur » en se faisant passer pour lui au téléphone. Peu à peu, celui-ci ne se contente pas d’imiter l’écrivain : il développe son personnage ! La partition espiègle emprunte la voie du baroque avec piano, cordes, percussions, et un clavecin qui prolonge un arrangement de Rameau (Les Indes Galantes), progressivement transformé par le son électronique du synthé, comme pour glisser de l'ancien au moderne. Ce ton fantaisiste souligne les quiproquos, convoque la situation de représentation tel un petit théâtre, avec une pointe de mélancolie marquant le désarroi de l'imposture. On y entend « Diego libre dans sa tête » de Michel Berger.
A l'affiche avec : Horizonte (Film de César Acevedo ).
Harry Allouche signe la musique du film colombien de César Acevedo.
A l'affiche avec : El'Sardines (Série de Zoulikha Tahar ).
Pierre Oberkampf signe la musique de la mini-série algérienne de Zoulikha Tahar, conte sur l’émancipation d’une jeune fille algérienne, de sa famille et de son milieu social.
A l'affiche avec : Chicago Police Department ( de Dick Wolf, Matt Olmstead ).
Atli Örvarsson signe la musique de la série policière de Dick Wolf & Matt Olmstead qu'il retrouve après "Chicago Med" (2021), sur ce spin-off de Chicago Fire centré sur une brigade de police de la ville
A l'affiche avec : Mountainhead (Film de Jesse Armstrong ).
Nicholas Britell retrouve Jesse Armstrong après la série "Succession" (2023).
A l'affiche avec : And Just Like That... (Série de Michael Patrick King ).
Aaron Zigman signe la musique de la série romantique de Michael Patrick King qu'il retrouve après "Sex And The City - Le film" (2008) et "Sex and the City 2" (2010).
A l'affiche avec : The Better Sister (Série de Olivia Milch, Regina Corrado, Craig Gillespie ).
Will Bates signe la musique de la série de Olivia Milch & Regina Corrado, dirigée par Craig Gillespie.
Panorama BO : des musiques issues des adaptations de Stephen King (76-96)