A l'affiche avec : Perfect Addiction (Film de Castille Landon ).
Jonathan Sanford signe la musique du drame romantique de Castille Landon sur fond de combats de boxe.
A l'affiche avec : The Night Agent (Série de Shawn Ryan, Seth Gordon ).
Robert Duncan signe la musique de la série d'action de Shawn Ryan dirigée par Seth Gordon.
A l'affiche avec : L'Eden (Film de Andrés Ramírez Pulido ).
Pierre Desprats signe la musique du thriller colombien de Andrés Ramírez Pulido sur l'incarcération du jeune Eliú dans un centre expérimental pour mineurs au cœur de la forêt tropicale colombienne. La musique contribue par ses nappes à nous faire ressentir l'ambiance moite de la forêt, le climat de torpeur, tandis que des percussions primitives marquent la sauvagerie des soudains instants de violence. Par ailleurs, une présence vocale instaure une étrangeté.
A l'affiche avec : De grandes espérances (Film de Sylvain Desclous ).
Florencia Di Concilio ("Les Cinq Diables") fait la rencontre de Sylvain Desclous qui a auparavant fait appel à Amaury Chabauty sur "Vendeur" (2016) et Bertrand Belin sur "La Campagne de France" (2022). Pour ce drame politique (une assistante ministérielle - Rebecca Marder - dissimule un crime qu'elle a commis), des textures bourdonnantes, des dissonances et des éléments percussifs soutiennent les instants de thriller, tandis que la musique se met en retrait lors de la parole politique.
A l'affiche avec : Le Bleu du caftan (Film de Maryam Touzani ).
Kristian Eidnes Andersen signe un thème musical pour le drame franco-marocain de Maryam Touzani.
A l'affiche avec : Dalva (Film de Emmanuelle Nicot ).
Frederic Alvarez signe la musique du drame franco-belge de Emmanuelle Nicot sur une fille de 12 ans (Zelda Samson) qui est brusquement retirée du domicile paternel en raison de violence subies. Face à cette dureté et à ce personnage refermé sur lui-même, la partition aérienne joue la douceur pour marquer son parcours intérieur vers une émancipation et se déploie jusqu'au procès final.
A l'affiche avec : Le Village des endormis (Film de Philippe Dajoux ).
Jean-Pierre Taïeb signe la musique du téléfilm policier de Philippe Dajoux.
A l'affiche avec : Dom (Série de Breno Silveira ).
Antonio Pinto signe la musique de la série policière brésilienne de Breno Silveira.
A l'affiche avec : Noise (Film de Steffen Geypens ).
Hannes De Maeyer signe la musique du thriller belge de Steffen Geypens.
A l'affiche avec : L'Éléphante du magicien (Film de Wendy Rogers ).
Mark Mothersbaugh signe la musique du film d'animation de Wendy Rogers.
A l'affiche avec : L'Etrangleur de Boston (Film de Matt Ruskin ).
Paul Leonard-Morgan signe la musique du thriller de Matt Ruskin.
A l'affiche avec : Extrapolations (Série de Scott Z. Burns ).
Dan Romer signe la musique de la série d'anthologie de Scott Z. Burns qui relate les impacts sociaux et moraux du changement climatique sur les hommes à travers 8 histoires.
A l'affiche avec : À moi la nuit, toi le jour (Série de Peter Cattaneo, Chloe Wicks ).
Nitin Sawhney signe la musique de la série romantique britannique de Peter Cattaneo & Chloe Wicks.
A l'affiche avec : Perry Mason (Série de Rolin Jones, Ron Fitzgerald ).
Terence Blanchard (BlacKkKlansman) signe la musique de cette série judiciaire de Rolin Jones et Ron Fitzgerald.
A l'affiche avec : Shadow and Bone : La saga Grisha (Série de Eric Heisserer ).
Joseph Trapanese signe la musique de la série fantastique de Eric Heisserer.
A l'affiche avec : Rain Dogs (Série de Cash Carraway ).
Alex Baranowski signe la musique de la série britannique de Cash Carraway.
A l'affiche avec : Crazy Bear (Film de Elizabeth Banks ).
Mark Mothersbaugh signe la musique de la comédie noire de Elizabeth Banks qu'il retrouve après "Pitch Perfect 2" (2015) sur un ours devenu fou suite à l'ingestion de cocaïne dans une forêt de Georgie où converge un groupe de flics, criminels, et touristes. Un orchestre trépidant et des percussions soutiennent l'attaque du prédateur, des pulsations electroniques reflètent la substance chimique, tandis qu'une instrumentation de hard rock (guitare electrique, batterie) instaure un décalage éloignant le sérieux et la peur.
A l'affiche avec : Emily (Film de Frances O'Connor ).
Abel Korzeniowski compose la bande originale du biopic réalisé par Frances O'Connor sur l'écrivaine Emily Brontë, en utilisant un piano et un orchestre empreints de romantisme pour accompagner le parcours initiatique de la jeune femme au XIXe siècle. La musique intègre des éléments de modernité, tels que des motifs répétitifs inspirés de Philip Glass, rappelant ainsi la musique de "La Leçon de piano" par Mychael Nyman (dont l'histoire se déroule également à la même époque). Des passages exaltés, notamment avec des chœurs et des cordes agitées en ostinato, mettent en valeur son caractère rebelle et marginal.
A l'affiche avec : Le Lion et les trois brigands (Film de Rasmus A. Sivertsen ).
Gaute Storaas signe la musique du film d'animation norvégien de Rasmus A. Sivertsen qu'il retrouve après "Dans la forêt enchantée de Oukybouky" (2017).
A l'affiche avec : Esterno notte (Série de Marco Bellocchio ).
Le jeune compositeur italien Fabio Massimo Capogrosso fait la rencontre de Marco Bellocchio pour cette série criminelleavec une partition lancinante et mystérieuse de percussions, cordes, piano et sifflet, sur un rythme haletant pour soutenir la dimension politique (on pense alors à Ennio Morricone chez Élio Petri), dans un mouvement de farce ou de valse pour apporter un zeste de dérision, un requiem pour la solennité (il est question de l'organisation terroriste d'extrême gauche italienne Brigades rouges), ou encore des chœurs et notes aériennes pour une dimension sacrée. Le cinéaste avait fait appel auparavant à Ennio Morricone ("Les Poings dans les poches"), Nicola Piovani (de nombreuses fois dont le récent "Le Traitre") et Carlo Crivelli ("Vincere").
A l'affiche avec : Maman a disparu (Film de François Basset ).
François Staal signe la musique du téléfilm policier de François Basset.
A l'affiche avec : Luther : Soleil déchu (Film de Jamie Payne ).
Lorne Balfe signe la musique du film judiciaire de Jamie Payne, adaptation en long-métrage de la série britannique, "Luther", créée par Neil Cross.
A l'affiche avec : You (Série de Greg Berlanti, Sera Gamble, ).
Blake Neely signe la musique de cette série thriller de Greg Berlanti et Sera Gamble qu'il retrouve après THE FLASH, SUPERGIRL et ARROW.
A l'affiche avec : Women Talking (Film de Sarah Polley ).
La violoncelliste Hildur Guðnadóttir ("Joker") fait la rencontre de la canadienne Sarah Polley qui avait fait appel à Jonathan Goldsmith sur ses trois premières réalisations. La partition fait alterner une guitare acoustique douce et des percussions primitives telles que le gamelan. Elle reflète la voix de ces femmes qui se sont rassemblées pour combattre l'agression masculine et leurs sentiments partagés entre l'amour et la haine, le pardon et la fuite, la révolte et la résilience. Les cordes se déploient pour accompagner leur quête de liberté.
A l'affiche avec : En plein feu (Film de Quentin Reynaud ).
Delphine Malaussena retrouve Quentin Reynaud après "5ème Set" (2021) avec des cordes grondantes qui nous font sentir la chaleur des flammes comme en immersion auprès des personnages pris au piège (un père et son fils - André Dussolier et Alex Lutz), sur une route de forêt au coeur de l'incendie. Des percussions tribales représentent la mécanique automobile qui s'enraye. Les pompiers sont hors champs dans le film mais existent dans la partition par une imitation musicale de la sirène. Enfin, des sonorités plus cristallines et éthérées évoquent les liens familiaux.
A l'affiche avec : Les siffleurs (Série de Nathalie Marchak ).
Giovanni Mirabassi signe la musique de la mini-série (2 parties) policière de Nathalie Marchak.
A l'affiche avec : Mon Crime (Film de François Ozon ).
Philippe Rombi renoue avec François Ozon sur cette comédie judiciaire située dans les années 30 à Paris ce qui marque les grandes retrouvailles du tandem, 6 ans après "L'Amant double" (2017). Effectivement, le cinéaste s'était tourné entre temps vers Evgueni Galperine (Grâce à Dieu), Jean-Benoît Dunckel (Été 85) et Clément Ducol (Peter von Kant). L'orchestre se fait mystérieux ("Confession de Madeleine"), trépidant ("Le procès", 'Final"), romantique ("Demande en mariage") et luxuriant ("Le calvaire de Suzette"), convoquant à la fois l'intrigue policière que le portrait de deux femmes (Nadia Tereszkiewicz, Rebecca Marder), avec des notes nostalgiques de jazz (piano, saxophone, trompette) pour représenter le Paris des années 30. On y entend deux chansons de Danielle Darrieux, dont "Sans un mot" (adaptation française de "We Just Know" par Franz Waxman, issue du film "Sunset Boulevard").
A l'affiche avec : Seule : les dossiers Silvercloud (Film de Jérôme Dassier ).
Nathaniel Méchaly signe la musique du thriller de Jérôme Dassier avec un orchestre ample illustrant à la fois le cadre montagneux que la passion entre les protagonistes (Jeanne Balibar et Asia Argento), jusqu'au lyrisme final, tandis que des éléments dissonants et percussifs soutiennent le récit d'espionnage. Il propose par ailleurs une chanson originale "Don’t Look Back" interprétée par Glen Ballard au chant et Randy Kerber au piano.
A l'affiche avec : Comme une actrice (Film de Sébastien Bailly ).
Laurent Levesque retrouve Sébastien Bailly pour son premier long-métrage après les court-métrages "Douce" (2011), "Où je mets ma pudeur" (2013) et "Une histoire de France" (2015) avec des ostinati de cordes, d'orgue, un piano, et un violon soliste (interprété par Nemanja Radulovic) pour relater les troubles de la personnalité d'une actrice (Julie Gayet) qui ne parvient pas à faire le deuil d'un amour (et d'un rôle qui revient à une comédienne plus jeune qu'elle). Par le moyen du fantastique, le personnage féminin va devenir toutes les femmes pour séduire à nouveau, et la partition épouse alors le tourbillon des différentes personnalités. Entre déchirement et sensualité, entre renaissance et décomposition, les notes épousent au plus près l'intériorité de l'actrice comme la caméra qui capte sa peau.
A l'affiche avec : The Whale (Film de Darren Aronofsky ).
Rob Simonsen fait la rencontre de Darren Aronofsky sur ce drame familial, histoire d'un professeur obèse et reclus qui assure ses cours en visio et tente de renouer avec sa fille adolescente dont il s'est séparé. Le cinéaste avait fait auparavant appel à Clint Mansell ("Requiem for a dream", jusqu'à "Noé" en 2014). La partition lancinante de cordes se deploie sur toute la durée du film comme une même pièce illustrant à la fois comme une marche funèbre l'enfermement et la déchéance physique du personnage et sa rédemption par des notes de plus en plus lyriques (jusqu'au final - "Safe Return").
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