A l'affiche avec : Jane (Série de Sabrina Jaglom ).

Anna Drubich signe la musique de la série d'aventure de Sabrina Jaglom  inspirée du travail du Dr Jane Goodall. 

A l'affiche avec : Notre monde vivant (Série de ).

Pinar Toprak signe la musique de la série documentaire britannique contée par Cate Blanchett.

A l'affiche avec : Rosalie (Film de Stéphanie Di Giusto ).

La pianiste, compositrice et chanteuse polonaise Hania Rani signe la musique du drame historique de Stéphanie Di Giusto. 

A l'affiche avec : Le Mal n'existe pas (Film de Ryûsuke Hamaguchi ).

La musicienne multi-instrumentiste japonaise, chanteuse, percussionniste et pianiste Eiko Ishibashi retrouve le cinéaste japonais Ryûsuke Hamaguchi après "Drive My Car" (2021), proposant des violons lancinants qui alternent entre stridence et harmonie dans une ambiance méditative, agrémentée d'éléments percussifs et de cuivres plaintifs qui flirtent avec le jazz. La musique est à l'origine du film, puisque c'est la musicienne japonaise qui a d'abord demandé au cinéaste de créer des images pour accompagner un concert. Au final, la musique est intégrée à un récit en relation avec la nature entourant le village où vivent Takumi et sa fille Hana, dans une certaine transcendance, et est disposée de manière heurtée (les morceaux s'arrêtant brusquement) comme pour marquer le bouleversement associé à l'annonce d'un projet de construction.

A l'affiche avec : Les Vérités de Jennifer (Film de Jenny Popplewell ).

Nainita Desai signe la musique du documentaire criminel de Jenny Popplewell.

A l'affiche avec : Shirley (Film de John Ridley ).

Tamar-kali signe la musique du drame historique de John Ridley Shirley Chisholm, première femme noire élue députée aux États-Unis en 1972.

A l'affiche avec : Bis Repetita (Film de Émilie Noblet ).

Julie Roué retrouve Émilie Noblet dans le cadre du cinéma pour son premier long métrage, après avoir travaillé sur les séries "HP" (2021), "Parlement" (2023) et "Loulou" (2024), composant une partition de jazz qui s'accorde avec la démarche et le rythme nonchalants de Delphine (interprétée par Louise Bourgoin), une professeure de lettres classiques désabusée. Des morceaux de fanfare incarnent l'esprit collectif de cette classe d'élèves tandis que des séquences percussives marquent les préparatifs du championnat du monde de latin. La compositrice crée aussi une chanson de rap (en latin pour l'occasion) interprétée par Xavier Lacaille (le neveu très appliqué de la Proviseure, sélectionné comme accompagnateur pour le concours).

A l'affiche avec : Karaoké (Film de Stéphane Ben Lahcene ).

Anne-Sophie Versnaeyen signe la musique de la comédie de Stéphane Ben Lahcene, qui avait fait appel à Ben Violet sur "Premier de la classe" (2019). 

A l'affiche avec : Scandaleusement vôtre (Film de Thea Sharrock ).

Isobel Waller-Bridge compose la musique de la comédie criminelle de Thea Sharrock, qui avait précédemment fait appel à Craig Armstrong pour "Avant toi" (2016) et "Le Seul et unique Ivan" (2020). La composition (cordes, piano) maintient par son ton dramatique le mystère entourant une affaire de lettres anonymes insultantes reçues par Edith Swan (Olivia Colman) dans une station balnéaire du sud de l'Angleterre en 1920. L'atmosphère tendue, liée aux soupçons, est renforcée par des notes rythmiques qui marquent une avancée de l'intrigue. Un violon se fait poignant, tandis qu'une certaine monotonie est exprimée à travers une homogénéité marquée.

A l'affiche avec : Little Wing (Film de Dean Israelite ).

Anne Nikitin signe la musique de la comédie sportive de Dean Israelite sur une jeune fille de 13 ans, Kaitlyn (Brooklynn Prince), qui se lance dans l'univers des courses de pigeons.

A l'affiche avec : La Vie de ma mère (Film de Julien Carpentier ).

Dom La Nena signe la musique du premier film de Julien Carpentier, qui porte sur une mère bipolaire (Agnès Jaoui) s'étant échappée de son hôpital psychiatrique pour passer du temps avec son fils (William Lebghil). Le violoncelle et le piano se font entendre parcimonieusement, en filigrane, évitant un excès de pathos lors des moments émotionnellement intenses (le deuil, la folie incontrôlée, la romance, l'amour maternel). Le parcours musical épouse les errements de l'âme du personnage à travers un thème et ses variations, lequel tisse aussi un lien entre la mère et le fils. Agnès Jaoui pose sa voix en générique de fin pour une chanson originale, "Me lo dijo una flor". On découvre par ailleurs différents univers musicaux, que ce soit les vibrations entraînantes de "Arabian Booty Shake" par Bustafunk et Malia Saadi, ou encore la nostalgie des années 80 avec Julien Clerc et Julie Pietri. La chanson "Les yeux de ma mère", interprétée par Arno, évoque dans la dernière scène la figure maternelle. 

A l'affiche avec : Rien ni personne (Film de Gallien Guibert ).

Camille Delafon signe la musique du premier long métrage de Gallien Guibert, qui retrace l'histoire de Jean (Paul Hamy), un orphelin de naissance en cavale, laissant derrière lui sa femme et son enfant. La partition oscille entre la douceur d'un piano évoquant le berceau et la rugosité de textures ainsi que celle d'un violoncelle pour maintenir une tension inhérente à l'intrigue criminelle.

A l'affiche avec : Madame de Sévigné (Film de Isabelle Brocard ).

Florencia Di Concilio compose la musique du drame historique réalisé par Isabelle Brocard, qui avait fait appel à Manuel Peskine pour la musique de son film précédent, "Ma compagne de nuit" (2011), caractérisée par une sonorité intimiste qui, sans imiter l'époque, se mêle subtilement aux musiques intradiégétiques de celle-ci. La flûte traversière, évoquant la frivolité et la douceur, par moments d'inspiration japonaise, est jumelée à la guitare, au rythme très flamenco. Ces instruments sont associés à la marquise (Karin Viard) et à sa fille Françoise (Ana Girardot), qui partagent une relation à la fois fusionnelle et dévastatrice.

A l'affiche avec : Cherry (Film de Sophie Galibert ).

Clementine Charuel signe la musique du premier film de Sophie Galibert et relate par ses notes délicates (piano, cordes) les sentiments d'une jeune femme qui apprend qu'elle est enceinte. La partition élabore une bulle autour du personnage en soutenant son désarroi et la perte d’une innocence avec un thème qui se déploie. Des sonorités angéliques et une présence vocale participent au ton fantasque, léger, au bord du conte. On y entend également des chansons originales ("Ride On The Sun" par Clémentine Charuel elle-même - au lancement du générique, et trois autres par Vita Levina).  

A l'affiche avec : Sans jamais nous connaître (Film de Andrew Haigh ).

Émilie Levienaise-Farrouch signe la bande originale du film fantastique et romantique réalisé par Andrew Haigh, dans lequel Adam (interprété par Andrew Scott) entame une relation avec son voisin londonien, Harry (joué par Paul Mescal), tandis que son passé refait surface comme dans un rêve. Les tonalités éthérées et continues de la musique, à la fois enveloppantes et dissonantes, imprègnent tout le film d'une aura spectrale, et dessinent, au sein de fantômes, le voyage introspectif nécessaire pour surmonter un deuil, combler une solitude, et transcender l'ère du Sida qui a laissé des traces. On y trouve également trois morceaux emblématiques des années 80, avec la synth-pop de Frankie Goes to Hollywood qui vient clôturer le film, ainsi que des chansons des Pet Shop Boys et du pop-rock des Housemartins.

A l'affiche avec : Le bonheur est pour demain (Film de Brigitte Sy ).

Béatrice Thiriet retrouve Brigitte Sy après "L'Astragale" en 2015, et, tout comme le violon avait sa place centrale dans ce dernier film, ici, c'est une viole de gambe qui porte l'émotion et la gravité de cette romance entre une femme mariée (Laetitia Casta) et un braqueur (Damien Bonnard) condamné à de la prison, s'inspirant de pièces de musique baroque telles que celles de Händel et Bach. Par ailleurs, le oud introduit une nuance orientale et complète le duo comme si chaque personnage avait son instrument, rejoints ensuite par le piano et l'orchestre. Nous sommes également témoins de deux scènes de danse : l'une au début, dans un café, sur un air de mambo interprété par Dean Martin, l'autre lors de l'anniversaire de Lucie (interprétée par Béatrice Dalle), où elle se déhanche sur une rumba congolaise. Une autre mélodie nous parvient durant la séquence mouvementée du parloir, datant des années 60, incarnée par la voix de la chanteuse américaine Wendy René.

A l'affiche avec : La Zone d'intérêt (Film de Jonathan Glazer ).

Mica Levi retrouve Jonathan Glazer après "Under the Skin" (2014) au coeur de la deuxième guerre mondiale dont les horreurs sont laissées hors champs puisque nous demeurons auprès d'une famille allemande dans une maison avec jardin à côté du camp d’Auschwitz. Les atrocités qui se jouent sont représentées par le travail sur le son (des fusils, des cris...), et une musique qui prend la forme d'une sirène assourdissante (convoquant l'irreprésentable face à des plans comme des cartons de couleur - rouges, noirs, blanc - laissant entrevoir le drame par l'écoute et l’asbtraction).

A l'affiche avec : Based on a True Story (Série de Craig Rosenberg ).

Sherri Chung signe la musique de la série de Craig Rosenberg.

A l'affiche avec : What If...? (Série de A.C. Bradley ).

Laura Karpman signe la musique de la série d'animation de A.C. Bradley.

A l'affiche avec : La Fille de son père (Film de Erwan Le Duc ).

Julie Roué retrouve Erwan Le Duc après "Perdrix" (2019) pour illustrer la relation d’un père (Nahuel Perez Biscayart) et de sa fille (Céleste Brunnquell) abandonnés par la mère. Des cordes soutiennent la dimension tragique et désespérée du récit tandis que des sonorités (flûtes, harpe, sifflement) insufflent de la fantaisie pour une humeur décalé chère au cinéaste. Pour l’anecdote, Julie Roué apparaît au piano face à des élèves dans une école  au détour d’un plan. On y entend aussi “You’ll never walk Alone” de Rodgers & Hammerstein (1945). 

A l'affiche avec : Héros éternels : Indiana Jones & Harrison Ford (Film de Laurent Bouzereau ).

Raphaelle Thibaut signe la musique du documentaire de Laurent Bouzereau (qu'elle retrouve après "Mama's Boy", 2022) qui revient sur la carrière d'Harrison Ford et celui de son personnage de prédilection : Indiana Jones. 

A l'affiche avec : A Friend of The Family (Série de Nick Antosca ).

Ariel Marx retrouve Nick Antosca sur cette série criminelle après "Candy : Meurtre au Texas" (2022). 

A l'affiche avec : Found (Série de Nkechi Okoro Carroll ).

Sherri Chung signe la musique de la série policière de Nkechi Okoro Carroll. 

A l'affiche avec : Le Lapin de velours (Court-métrage de Jennifer Perrott, Rick Thiele ).

Anne Dudley signe la musique du court-métrage d'animation de Jennifer Perrott & Rick Thiele.

A l'affiche avec : La maison allemande (Série de Annette Hess ).

Dascha Dauenhauer signe la musique de la série allemande de Annette Hess. 

A l'affiche avec : The Marvels (Film de Nia DaCosta ).

Laura Karpman (" What If...?", "Miss Marvel") compose la musique de la suite de "Captain Marvel" réalisée par Nia DaCosta, prenant la relève de Pinar Toprak qui avait travaillé sur le premier film. La partition orchestrale est épique, avec un chœur, inspirée des "Avengers" ainsi que du style dynamique d'Alan Silvestri. La compositrice ajoute une touche d'authenticité en collaborant avec la percussionniste sourde Evelyn Glennie pour créer un son vibrant, afin de se rapprocher des sons authentiques d'une histoire se déroulant dans l'espace. Elle utilise aussi le son de véritables débris spatiaux, comme des disques en titane joués avec un archet, donnant l'impression aux spectateurs d'être en contact avec toutes sortes de créatures et dispositifs d'un autre monde, aidée d'un souffle humain. Elle intègre aussi des éléments de musique asiatique (dhol, tabla, sarangi, sursringar à cordes, flûte bansuri, tambour mridangam) pour représenter Kamala Khan (Iman Vellani), dans la continuité de ce qu'elle avait réalisé dans "Miss Marvel", qui présentait cette adolescente pakistano-américaine fan de Captain Marvel et qui hérite de pouvoirs cosmiques. La violoniste Raaginder, spécialiste de la musique classique indienne, rejoint un chœur de huit voix de chanteurs sud-asiatiques chantant en partie en ourdou.

A l'affiche avec : Blue Eye Samurai (Série de Michael Green, Amber Noizumi ).

Amie Doherty signe la musique de la série d'animation et d'aventure située au japon de Michael Green et Amber Noizumi. Est incluse une reprise de "For Whom the Bell Tolls" de Metallica, interprétée par Emi Meyer.

A l'affiche avec : Le Syndrôme des amours passées (Film de Ann Sirot, Raphaël Balboni ).

Julie Roué fait la rencontre des belges Ann Sirot et Raphaël Balboni pour leur deuxième long-métrage après "Une vie démente" (2021, musique de Nils Frahm). Cette comédie fantasque met à l’épreuve la fidélité d’un couple par le biais d’un élément fantastique (n’arrivant pas à avoir d’enfant, Sandra et Remy - Lucie Debay & Lazare Gousseau - doivent pour s’en guérir recoucher une fois avec tou.te.s leurs ex). Chaque ébat sexuel de ce périple est l’objet d’une vignette pop, sous différentes formes, celle du clip, de l’installation ou de la danse. Ces moments chorégraphiques sont illustrés de sonorités percussives et aériennes (la flûte associée à une ambiance trip hop). On y entend aussi une échappée baroque évoquant Bach.

A l'affiche avec : En bonne compagnie (Film de Silvia Munt ).

Paula Olaz est la compositrice de la musique du drame espagnol réalisé par Silvia Munt, qui raconte l'histoire d'un groupe de féministes dans les années 70 luttant pour le droit à l'avortement. Sa partition est marquée par des sonorités douces et éthérées, où le piano répond à la guitare, sur un mode apaisé, reflétant ainsi le regard innocent de Bea, une jeune de 16 ans incarnée par Alícia Falcó. Au cours de son périple, Bea croise le chemin de Miren, une jeune femme issue d'une famille aisée, jouée par Elena Tarrats, qui prête sa voix à la chanson phare du film, "Las buenas compañías".

A l'affiche avec : La Pat' Patrouille : La Super Patrouille Le Film (Film de Cal Brunker ).

Pinar Toprak ("Captain Marvel") signe la musique du film d'animation de Cal Brunker et succède à Heitor Pereira qui avait participé au premier opus, "La Pat’ Patrouille Le film" (2021). On y entend la chanson "Zen Vibe" de Rob Szabo.