Le compositeur italien Nino Rota retrouve son fidèle compatriote Federico Fellini après "Le Cheik blanc" (1952) et "I Vitelloni" (1953). Le morceau principal de la partition s’ouvre par une trompette solo à la mélodie triste qu’un orchestre délicat vient soutenir. Puis il change de registre pour s'égayer à mi-parcours. Un deuxième thème apparaît, plus sautillant. Cette construction est à l’image du personnage de Gelsomina qui traverse le film du rire aux larmes.
[© Texte : Cinezik] •
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