Joel P. West retrouve Destin Daniel Cretton après "Short Term 12" (2013) et "I Am Not a Hipster" (2012). On y entend "Summer Storm", chanson originale écrite pour le film par Joel P West, ainsi que la reprise du standard "Don’t Fence Me In" de Cole Porter, interprétée ici par Darla Hawn.
Jeff Beal signe la musique du second volet du documentaire écologique avec Al Gore, et succède à Michael Brook qui avait signé la musique du premier opus "An Inconvenient Truth" (2006). On y entend la chanson originale "Truth to Power" interprétée par OneRepublic et écrite par Ryan Tedder et T.Bone Burnett.
Stuart Staples (membre des Tindersticks) retrouve pour cette comédie la cinéaste Claire Denis en solo après "L'Intrus" (2004), "White Material" (2009), "Salauds" (2013) avec une partition jazzy conçue en compagnie du guitariste David Boulter, du percussionniste Thomas Belhom, du pianiste Dan McKinna. Certaines pièces de Stuart Staples sont interprétées avec improvisations par le Julian Siegel Quartet (clarinette, piano, double basse, batterie).
Pour sa nouvelle comédie, Noémie Lvovsky convoque de la musique savante et la chanteuse Alela Diane.
Gilles Bourdos convoque pour son drame choral la musique que Alexandre Desplat avait écrit pour son précédent film RENOIR, ainsi que des pièces de John Cage, Willis Earl Beal, Jean Luc Silvestre...
Alexei Aigui retrouve le haïtien Raoul Peck pour ce biopic après "Assistance mortelle" (2013), "Meurtre à Pacot" (2014) et "I Am Not Your Negro" (2016), avec une partition symphonique, à la fois dense et tragique, rythmée par des cordes élégiaques. La musique est interprétée par l'Orchestre Symphonique de Cinéma d’État de Russie.
Le compositeur anglais Rolfe Kent retrouve le réalisateur français Nicolas Bary après "Au bonheur des ogres" (2013). On y entend la chanson "Si on chantait" enregistrée pour le film par Vianney.
Le compositeur français Jean-Michel Bernard fait la rencontre du réalisateur géorgien Géla Babluani et propose une partition tendue pour illustrer ce film noir. Les DJ David Dahan, Joseph Guigui proposent des atmosphères lugubres, tandis qu'à la fin, se fait entendre la chanson "Baby Shoe" par Sofia Babluani.
Laurent Ferlet signe la musique ce documentaire franco-indien, premier film de Natalie Fuchs.
Amman Abbasi a écrit, réalisé, monté, produit et a composé la musique de son premier long-métrage. Une partie des morceaux a été composée avant le tournage. Abbasi s’asseyait au piano, imaginait une scène du film, et la musique lui venait. La musique crée un état quasi hypnotique. Amos Cochran est l'interprète et arrangeur de cette bande originale.
Le Maître est l'enfant
Documentaire de Alexandre Mourot
Musique : Damien Salançon
L'architecte textile
Documentaire de Mika'Ela Fisher
Musique : Sébastien Rostagno
Interview B.O : Pierre Desprats (Les Reines du drame, de Alexis Langlois)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)