par Raphaël Malasoma
- Publié le 08-06-2025Le 20 mai 2025, le prestigieux Musikverein de Vienne a accueilli un concert exceptionnel dédié aux compositions de James Newton Howard. Le compositeur américain a dirigé en personne l'Orchestre Symphonique de Vienne et le chœur Singverein der Gesellschaft der Musikfreunde, interprétant une sélection de ses plus grandes musiques de films. Des œuvres pour "Treasure Planet", "Signs", "The Hunger Games" ou encore "Fantastic Beasts" ont résonné dans la célèbre salle dorée, en présence d'invités spéciaux tels que le violoniste James Ehnes et le pianiste Randy Kerber. L'événement a attiré un public international de cinéphiles et de mélomanes, venus célébrer trois décennies de musique pour Hollywood. Voici le compte rendu de Raphaël Malasoma qui a eu la chance d'y assister.
Dans la foule dense devant le Musikverein, salle emblématique de la musique à Vienne abritant le Wiener Philharmoniker, prestigieux orchestre offrant chaque premier janvier le concert du nouvel an, il est possible, en plus de l'allemand, d'entendre quelques conversations en chinois et en italien. Deux Chinoises sont là simplement pour assister à un concert dans la célèbre salle, sans vraiment connaître ni suivre les compositions de James Newton Howard, qui dirigera ce soir l'orchestre jouant sa propre musique de film. Mais la majorité des personnes ici présentes ne sont pas dans ce cas. Roger, 64 ans, vient d'Utrecht aux Pays-Bas : « Les films Dinosaur et Signs ont été les premiers dont la musique de James Newton Howard a retenu mon attention. Depuis lors, il fait partie des compositeurs de films que j'ai continué à suivre. Le point culminant a été son concert "3 Decades of Music for Hollywood" au Concertgebouw d'Amsterdam en 2017. C'était une expérience tellement fantastique que j'ai toujours espéré le revoir en direct un jour. Cette opportunité s'est présentée avec ce concert au Musikverein. Ma femme et moi avons toujours voulu aller à Vienne et vivre un concert dans cette salle historique. C'était donc la combinaison parfaite. D'abord, nous avons obtenu les billets, puis nous avons organisé une semaine de vacances autour de cet événement. »
La salle se remplit peu à peu. Beaucoup profitent des minutes précédant le concert pour s'y balader et la photographier. Ses impressionnantes dorures nous entourent, murs et plafond en sont recouverts. L'orchestre s'installe, puis un chœur se positionne juste derrière, sur trois rangées, tout le long de la scène. Plusieurs thèmes des films qui vont être en partie joués ce soir ont un chœur dans leur bande originale, ce qui permet d'espérer entendre l'extrait intitulé Tarawa lorsque viendra le moment du film Snow Falling on Cedars (La neige tombait sur les cèdres). Les films dont la musique sera jouée sont bien mentionnés dans le programme dévoilé il y a quelques semaines, mais pas les extraits musicaux.
Comme pour l'orchestre, puis le chœur, James Newton Howard arrive sous les applaudissements. Le maestro, à la démarche discrète et aux cheveux courts et blancs, dégage un léger quelque chose de Woody Allen et, sans prendre la parole, débute son travail de chef d'orchestre. La première musique jouée vient du film d'animation Disney Treasure Planet (La Planète au Trésor). Plus précisément, c'est le thème The Launch qui est joué. Et sans interruption autre qu'un instant de silence, c'est une autre production animée du studio Disney qui nous est offerte, Atlantis, avec des extraits des titres Touring The City, The Secret Swim et du très simplement titré Atlantis, le final du film.
C'est une fois ces extraits joués que James Newton Howard prend la parole pour quelques mots d'allemand, déclenchant un petit raz-de-marée d'applaudissements. Il précise que ce sont les seuls mots qu'il connaît dans la langue de Mozart et poursuit son discours en anglais. « C'est un immense honneur et un privilège d'être là sur cette scène avec l'un des plus grands orchestres... », et sa phrase se finit sous les applaudissements. Sans plus attendre, il présente les deux prochains extraits musicaux, tirés des films : Snow White and The Huntsman (Blanche-Neige et le Chasseur) puis The Prince of Tides (Le Prince des Marées). Pour le premier des deux films, ce sont des extraits des titres Snow White, Escape from the Tower et Coronation qui ont été choisis. Les visages et les regards sont tournés vers l'orchestre et le maestro. Ce n'est pas l'un ou l'autre qui est admiré, mais bien leur collaboration. L'ouverture du concert est passée et nous sommes maintenant en plein dedans. La beauté figée de la salle, joyau de la musique symphonique, n'attire maintenant plus les regards. Certains musiciens, entre deux efforts, reposent leur cuivre sur leur cuisse, les mains sur l'embouchure. Au balcon, des personnes du troisième et dernier rang se lèvent pour avoir une meilleure visibilité sur l'orchestre et James Newton Howard. En position assise, elles ne voient rien ou presque de la scène. Viennent très rapidement les applaudissements de fin d'extrait et, une fois ceux-ci terminés, l'orchestre débute au bout de quelques secondes l'extrait musical de The Prince of Tides. C'est le Main Title qui est joué ici. Un thème d'une douceur que les précédents joués ce soir n'avaient pas.
Le maestro prend la parole, mais il tient le micro loin de son visage, rendant ses propos peu compréhensibles. Mais après tout, un compositeur communique principalement par la musique qu'il écrit et dirige. On ne lui demande pas d'être doué en communication orale. Il mentionne Barbra Streisand, qui joue dans The Prince of Tides, puis les deux prochains extraits musicaux : Maleficent (Maléfique), autre production Disney et adaptation en prise de vues réelles du film d'animation La Belle au Bois Dormant, puis sa troisième collaboration avec M. Night Shyamalan, Signs (Signes). Pour Maleficent, c'est une majeure partie des extraits Maleficent Flies, The Spindle's Power, The Queen of Faerieland (avec l'ajout de choristes), ainsi que l'intégralité de Welcome to the Moors qui est orchestré ce soir. C'est une partition par moments très légère, avec des envolées, et parfois plus sombre. Le public est particulièrement, et bien qu'involontairement, bruyant. Plusieurs personnes toussent, venant parfois nuire à la musique. C'est le cas après la première note jouée au violon pour Signs. Mais pas à cause d'une toux. Un objet est tombé au sol, libérant un son fort qui s'est propagé dans toute la salle. Le seul violoniste à l'œuvre est perturbé, mais le maestro poursuit son travail de chef d'orchestre, et le reste du Main Title se poursuit comme il se doit et s'enchaîne avec les extraits The Hand of Fate part 1 and 2, le grand final du film donnant des frissons. Ces thèmes représentent un exercice difficile pour tout orchestre, puisqu'ils mêlent et alternent mélodie et cacophonie. C'est précisément la partition « casse-gueule » de concert, où il est très difficile de reproduire la musique enregistrée pour la bande originale. L'orchestre a ici deux atouts : c'est l'un des meilleurs au monde, comme l'a dit James Newton Howard plus tôt, et il est ici dirigé par le compositeur lui-même. Le travail est au rendez-vous et le résultat est très proche de ce que l'on entend dans le film. Bravo !
Les chœurs sont au repos tout du long, assis au fond, discrets. Les applaudissements sont plus longs et mérités. Le maestro fait signe à l'orchestre de se lever pour recevoir ce qui lui revient, et le public applaudit de nouveau, ne s'arrêtant que pour laisser la parole au compositeur : « L'extrait suivant vient du film Snow Falling on Cedars, adaptation filmée d'un livre puissant... », et le reste est malheureusement incompréhensible. Le compositeur tient le micro trop loin de sa bouche et n'articule peut-être pas assez non plus. Puis, sans prévenir, la fin de son discours est à nouveau claire : « ... et après viendra mon genre de film préféré, un western », faisant référence à Wyatt Earp. L'extrait Tarawa est joué. Le thème se démarque de tout le reste de la bande originale du film. Il démarre en douceur, très posé et poétique. Mais en réalité, ce thème est à l'intégralité de la partition ce qu'un bouquet final est à un feu d'artifice. Il est surtout connu des cinéphiles pour être entendu dans la bande-annonce du troisième film Matrix, présentée à la fin du générique du second. Un thème puissant avec la présence de percussions, étrangement très discrètes ce soir. Le chœur a fait un travail remarquable et puissant, allant crescendo sur près de trois minutes, plus de la moitié du thème. C'est d'ailleurs le chœur qui porte ce dernier, plus que l'orchestre. Les applaudissements sont plus généreux que les précédents.
Viennent les derniers extraits musicaux de la première partie de cette soirée avec le Main Title et The Wedding du film Wyatt Earp. Très western, dans le style le plus traditionnel et patriotique américain. La fin de cette première partie se termine avec plus d'une minute d'applaudissements. James Newton Howard s'incline et quitte la scène, de même que les musiciens et le chœur. Alors que le public se lève et se dégourdit les jambes, la plupart en changeant de point de vue pour admirer à nouveau la salle, une équipe s'attèle sur scène à retirer des chaises et des pupitres et à déplacer l'estrade du maestro plus au cœur de l'orchestre. Un piano à queue Steinway & Sons est installé entre l'estrade et le public. Ceux du premier rang au parterre ne vont plus voir grand-chose d'autre que les pieds et le dessous du gros piano noir.
L'orchestre, le chœur et le maestro reviennent dans cet ordre pour entamer la seconde partie de la soirée. Au piano fraîchement installé, Randy Kerber, ami de longue date du compositeur, prend place. Ils débutent avec des extraits musicaux du film Hunger Games. Il y a, comme pour Wyatt Earp, une connotation patriotique ici aussi. Un américanisme. Partout dans la salle, des applaudissements se font entendre et, surprise, le thème musical n'est pas fini, il repart. Les applaudissements se meurent en quelques secondes pour laisser les dernières notes du thème emplir la salle de son final. Dans la continuité des dernières notes mourantes, les applaudissements reprennent, mêlés de cris monosyllabiques d'admiration. James Newton Howard prend la parole, le micro cette fois à bonne distance. Une personne a dû lui signaler à l'entracte le souci de compréhension lors de la première partie. « The Village (Le Village) est ce que nous allons jouer maintenant. J'ai écrit deux versions de la partition, et dans ce genre de film, il y a beaucoup de moments effrayants. » Il éloigne malheureusement le micro, devenant beaucoup moins compréhensible, puis le rapproche à nouveau. « C'est un terrain d'émotion unique. La première version que j'ai écrite était très effrayante par endroits, et Night [Shyamalan, le réalisateur] trouvait qu'il manquait quelque chose de distinctif, une complexité émotionnelle au-delà du côté effrayant, et nous avons ajouté un solo de violon. Ce soir, j'ai le grand plaisir et l'honneur d'accueillir sur scène un grand ami et mon violoniste préféré sur cette planète. S'il vous plaît, accueillez chaleureusement James Ehnes. » Un homme apparaît, violon en main, sourit à tous et, sans perdre de temps, se place devant son pupitre. Une fois les applaudissements terminés, la musique débute.
La virtuosité de James Ehnes nous apparaît dès les premières notes. Il ne fait pas de gestes rocambolesques comme certains violonistes connus peuvent en faire. Il n'attire pas le regard, du moins pas volontairement. L'orchestre l'accompagne. Les plus de six minutes du thème semblent passer comme un éclair. Le violoniste et le pianiste portent l'ouverture du thème. Les deux amis du compositeur nous offrent un moment privilégié. Il y a bien une dualité émotionnelle, mais le violon et le piano se marient idéalement ce soir sur scène. James Ehnes quitte la scène, mais reviendra, nous annonce James Newton Howard. Randy Kerber reste. Arrive le tour de la musique du King Kong de Peter Jackson. Les extraits joués semblent être un "gloubi-boulga" des différents thèmes du film : celui de la romance entre Ann Darrow et Kong, poétique et mélodieux, et ceux plus dynamiques de l'exploration de la mystérieuse et dangereuse Skull Island, de la chasse de Kong par l'armée en plein New York et de la chute finale du singe géant depuis le sommet de l'Empire State Building. Après cette musique et les applaudissements associés, le compositeur prend à nouveau la parole : « James va nous rejoindre pour une mélodie d'un film intitulé A Hidden Life (Une vie cachée), réalisé par Terrence Malick. » James Ehnes revient sur scène sous les applaudissements. C'est l'extrait There Will Be No Mysteries qui est joué. La musique reçoit près d'une minute d'applaudissements. Beaucoup de cinéphiles apprécient le travail de ce réalisateur, et il y a principalement des cinéphiles ici ce soir.
James Newton Howard prend à nouveau la parole : « Merci James. Ce que nous allons faire maintenant vient du film The Last Airbender (Le dernier Maître de l'Air), de M. Night Shyamalan, et s'intitule Flow Like Water. C'est le climax du film, où de l'eau contrôlée par les pouvoirs du peuple de l'eau déferle en vague pour les aider. » C'est la première fois du concert que le compositeur annonce le titre de l'extrait musical à venir. Le thème débute par l'orchestre avant que le chœur ne s'y joigne. Avec les propos du compositeur juste avant, il est plutôt facile, à l'écoute, de se représenter la vague mentionnée. Les percussions font un retour fracassant après leur moment marquant de Snow Falling on Cedars. Les applaudissements se prolongent pour la musique de ce film très peu apprécié, indiquant qu'il y a bien une différence dans le cœur du public entre la qualité d'un film et celle de sa musique. Les applaudissements lors de cette seconde partie de concert semblent dans l'ensemble plus longs que lors de la première. Les visages sont aussi plus décontractés, là où il y avait des airs sérieux pendant toute la première partie. « Merci infiniment, reprend James Newton Howard. Nous entrons maintenant dans la partie du programme appelée ROMCOM, pour comédie romantique. Nous allons jouer les thèmes de comédies romantiques ayant pour star Julia Roberts. » Vient le thème du film Pretty Woman. Pas la chanson mondialement connue de Roy Orbison, mais bien la composition originale du film, signée James Newton Howard. Un début au piano sur plus d'une minute avant que l'orchestre ne l'accompagne pour la suite. Un thème triste, à l'image de beaucoup de fins d'histoires d'amour. Après quelques secondes de silence, c'est la suite composée pour My Best Friend's Wedding (Le Mariage de mon Meilleur Ami) qui est jouée, offrant un beau contraste. Il est question de mariage dans le film, et l'air de valse, joué ici au Musikverein ce soir à l'approche de la fin de ce concert, apporte une joie en chacun de nous que nous exprimons par une nouvelle série d'applaudissements.
« Merci. Alors, nous arrivons à la fin de notre spectacle. » James Newton Howard cherche un peu ses mots. L'émotion et sûrement un peu la fatigue y sont pour quelque chose. Nous en sommes à plus d'une heure quarante-cinq de concert, sans compter l'entracte. « Merci infiniment à l'orchestre, aux responsables de la salle et à vous tous, présents ici. » L'émotion se voit dans sa gestuelle et sur son visage. « Nous allons maintenant jouer la musique de Fantastic Beasts (Les Animaux Fantastiques, premier spin-off de la saga Harry Potter). » Les mélodies proposées ce soir proviennent des extraits A Close Friend et Inside the Case, ainsi que d'autres à la consonance plus proche des thèmes de la saga principale. Bien qu'il y ait ce saupoudrage Harry Potter, la musique de Fantastic Beasts est supérieure à celles de la seconde moitié des films Harry Potter. Il y a eu, tout au long de la seconde partie du concert, de plus en plus de personnes debout au dernier rang du balcon, et maintenant, elles sont majoritaires à l'être. Les extraits choisis proposent un beau mariage d'orchestre et de chœur, une douceur pour finir cette seconde partie.
Le public se lève et applaudit. James Newton Howard se tourne régulièrement vers ses amis sur scène pour qu'ils reçoivent leur part méritée d'applaudissements et de cris de joie et, dos au public, remercie lui-même l'orchestre. Des personnes pressées quittent la salle pendant les applaudissements. Il n'y a eu que peu de chaises vides lors de l'événement. « Merci infiniment, reprend James Newton Howard. Ce que nous allons faire maintenant vient du film Jungle Cruise, et c'est la dernière partition enregistrée à Los Angeles avant la pandémie. Je crois me rappeler que nous avons fini l'enregistrement le jeudi et que tout était confiné quatre jours plus tard, peut-être trois. » L'extrait Petal Negotiations est léger et aventureux, à l'image de ce film d'aventure rempli d'humour pour une histoire pourtant peu joyeuse. À la fin de la dernière note, c'est un tonnerre d'applaudissements qui retentit. James Newton Howard, James Ehnes et Randy Kerber, les trois amis, reçoivent chacun un bouquet de fleurs. Au bout du troisième ou quatrième rappel, James Newton Howard revient et se propose de jouer un solo de piano pour nous remercier une dernière fois de l'accueil reçu ce soir pour son travail, tout en ménageant les efforts des musiciens et choristes qui ont délivré de magnifiques performances. Le maestro est profondément ému. Seul au piano, il nous offre une douce mélodie jazzy, et c'est sur ces notes que le concert prend véritablement fin.
Roger, d'Utrecht, donne ses impressions sur l'événement : « Ce concert était à nouveau fantastique. Tant de musique incroyable et magnifiquement interprétée. Signs, Fantastic Beasts et Hunger Games étaient parmi mes favoris et se sont distingués grâce à l'impressionnant chœur. Je ne connaissais pas Treasure Planet et The Last Airbender et j'ai trouvé qu'ils étaient super aussi. Il y a un morceau que j'aurais également aimé entendre, d'un film que j'ai vu récemment pour la première fois, qui n'a malheureusement pas été sélectionné. C'est mon conseil absolu pour quiconque ne connaît pas ce morceau : Didn't I Do Well? du film Red Sparrow. Écoutez-le attentivement, avec ou sans le film ! Quoi qu'il en soit, j'ai apprécié ce concert du début à la fin. Ce n'est pas sans raison que les applaudissements n'ont jamais cessé. Même de la part de l'orchestre et du chœur. Un hommage plus que mérité pour le touchant et toujours si modeste James Newton Howard. »
On peut aussi regretter le thème Visions du film Unbreakable (Incassable). Le maestro Andrea Montepaone (membre en Italie de l'Association des Compositeurs de Musique de Film) était présent au concert ce soir : « Je considère James Newton Howard comme la synthèse entre l'idée de grandeur de composition orchestrale de John Williams et l'immédiateté mélodique de James Horner. Deux auteurs dont ce compositeur montre clairement qu'il s'inspire dans des bandes originales telles que Treasure Planet pour sa linéarité et son optimisme, ou The Prince of Tides pour le romantisme de ses thèmes. L'interprétation de l'orchestre, très bien dirigé, était convaincante et la performance du compositeur au piano était également excellente. J'espère assister bientôt à des concerts de ce type également dans mon pays. »
Chacun quitte la salle, émerveillé par la soirée passée. Dans le bâtiment, puis en le quittant, il est possible de récupérer un prospectus annonçant un prochain concert de musique de film ici-même : Patrick Doyle sera là pour orchestrer ses propres compositions le jeudi 29 janvier 2026.
Orchestre symphonique de Vienne
Singverein der Gesellschaft der Musikfreunde à Vienne
James Newton Howard, chef d'orchestre
Johannes Prinz, chef de chœur
Isabella Schwerer, soprano
James Ehnes, violon
Randy Kerber, piano
Treasure Planet et Atlantis (Suite)
Snow White and The Huntsman (Suite)
The Prince of Tides (Suite)
Maleficent (Suite)
Signs (Suite)
Snow Falling on Cedars (Suite)
Wyatt Earp (Suite)
-Pause-
The Hunger Games (Suite)
The Village (Suite)
King Kong (Suite)
A Hidden Life (Suite)
The Last Airbender (Flow Like Water)
Pretty Woman et My Best Friend's Wedding (Rom Com Suite)
Fantastic Beasts (Suite)
-Bis-
Jungle Cruise (Suite)
par Raphaël Malasoma
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