Cette première partition pour le cinéma de Bernard Herrmann, pour le premier film de Orson Welles, est révolutionnaire au sein de la musique hollywoodienne standard. Il privilégie la ponctuation à la simple illustration. Le prelude est une charge dramatique d’une obscurité totale qui plonge le spectateur dans les ténèbres dés l’ouverture. L’instrumentation à base d’une clarinette basse, de bassons, de flûtes et de trombones se situe dans un registre grave et sombre qui inaugure le récit avec la mort de Kane.
[© Texte : Cinezik] •
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