Et j'aime à la fureur (2022)

• Film de André Bonzel • France • Au cinéma le 20-04-2022 ★★★★ •

• Musique originale composée par Benjamin Biolay

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Benjamin Biolay
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Benjamin Biolay signe une musique dans un esprit 70's, tantôt nostalgique (piano electrique, cordes, sifflements) tantôt jazz et funky (percussions, guitare, trompette) pour ce documentaire dans lequel André Bonzel déclare son amour pour le cinéma. Il pose aussi sa voix pour trois chansons, dont "Irmao" en portugais.

♡ Prix pour cette B.O : Lumières •

Sortie de la BO

Original Score • BOriginal / Cristal Records (20 avril 2022)

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Tracklist (de la BO en CD ou Digital)
1. Padrino (1:01)
2. Expedit 1 (3:20)
3. Irmao (3:24) [chanson]
4. Mademoiselle (2:08)
5. Super 8 (1:03)
6. Wimereux (2:30)
7. Course de voiture (1:22)
8. Le père (2:32)
9. Petit André (1:18)
10. Anna (2:06)
11. Paris Pigalle (1:25)
12. Rue Longue Vie (2:10)
13. Jeunesse (1:41)
14. 2CV (2:04)
15. Retour à Paris (1:10)
16. Almut (1:42)
17. Riviera (1:01)
18. It's Very Nice (2:44) [chanson]
19. Expedit 2 (1:37)
20. Love and Fury (3:42) [chanson]
21. Mademoiselle Madame (1:32)
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Label : BOriginal

Propos du réalisateur

La musique est l'autre narration du film. Et j'adore le travail de Benjamin Biolay. Le chanteur, l'acteur et la personne qu'il est. Même avant de le connaître. Je savais dès le départ qu'il faudrait beaucoup de musique puisque les films sont muets. J'ai très vite pensé à Biolay car ses mélodies restent tout de suite en mémoire, et je rêvais qu'il compose la musique du film. Il s'est tout de suite intéressé au projet. Comme j'avais un premier bout-à-bout, on lui a projeté. Il a reconnu Ambleteuse, village qui est dans le film et que peu de personnes connaissent. Heureux hasard.

Il m’a demandé quels instruments j’aimais. Je lui ai donc indiqué que j’appréciais les pizzicati, les cordes, les Rhodes, les pianos électriques mais aussi les sifflements comme dans certaines comédies françaises. Mais je lui ai surtout demandé de se faire plaisir. Je crois que les images l’ont vraiment inspiré. Il s’est investi complètement. Il a composé plus de soixante-cinq morceaux. Par contrat il ne devait faire que des musiques mais il nous a écrit quelques chansons. J’ai passé du temps en studio avec lui à le voir travailler et c’était un vrai bonheur.