Pour son huis-clos judiciaire relatant le second procès en 1975 de Pierre Goldman, militant d’extrême gauche condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité, Cédric Kahn se dispense de musique pour privilégier les joutes verbales des avocats, du juge, et de l'accusé. En pleine sobriété, la mise en scène privilégie les moments de silence sur les regards, et les instants d'agitation lorsque le procès est chahuté.
[© Texte : Cinezik] •
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