Cinezik vous propose sa sélection commentée des musiques à écouter en salle dans les films à l'affiche. Cette semaine, sont à l'affiche Pavel Mykietyn, Jérôme Lemonnier, Daniel Pemberton, Jon Ekstrand, Rachel Portman, Julien Jaouen...
Jon Ekstrand retrouve son compatriote suédois Daniel Espinosa après "Babylonsjukan" (2004), "Outside Love" (2007), "Easy Money" (2010) et "Child 44" (2015) avec une musique angoissante, dont l’ambiance prolonge l'anxiété du film.
Jon Ekstrand : "Je voulais parvenir à composer une musique d'horreur atonale, avec quelques éléments mélodiques. La partie atonale constituant la base, le substrat, avec une large part orchestrale"
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Rachel Portman retrouve Lasse Hallström après "L'oeuvre de Dieu, la part du diable" (1999) et "Le chocolat" (2000).
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Daniel Pemberton fait la rencontre de Stephen Gaghan qui avait fait appel à Alexandre Desplat sur "Syriana" (2005) et à Clint Mansell sur "Abandon" (2002). On y entend aussi des artistes divers (New Order, The Pixies, Television, Kish Bashi, The Isley Brothers, Richard & Linda Thompsonoriginal) dont Iggy Pop qui signe la chanson originale "Gold".
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Le compositeur polonais Pavel Mykietyn retrouve son compatriote Jerzy Skolimowski après "Essential Killing" (2010).
Jérôme Lemonnier signe la musique de ce drame historique, premier film de Emmanuel Courcol, avec une partition épique d'orchestre, piano et cornet. On y entend aussi des musiques des années 20 (bal musette, Georges Van Parys).
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Julien Jaouen retrouve Dominique Farrugia sur sa nouvelle comédie chez Europa Corp après "Bis" (2015).
Dominique Farrugia "Julien souligne tout ce qui est romantisme et gravité et j'avais en tête la musique de Danny Elfman dans HAPPINESS THERAPY. Tandis que les chansons me permettent, elles, de soutenir les moments d'émotion. "
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Les rappeurs palestiniens Tamer Nafar et Itamar Ziegler signent la musique hip-hop du drame israélien, partition illustrant l'histoire d'amour de ces deux jeunes rappeurs palestiniens utilisant leur musique pour lutter contre l'oppressionde la société israélienne.
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Le groupe lorrain Deficiency participe au nouveau documentaire de Régis Sauder.
Régis Sauder : "leur musique s'apparente à une forme de cri. Cette musique métal, empreinte de douleur, exprime des sentiments. Elle ne vient pas illustrer l'image mais prendre, de temps en temps, la place d'une parole."
LIRE LES PROPOS DU RÉALISATEURWedding Doll / Hatuna MeNiyar
Drame israélien de Nitzan Giladi
Musique : Lior Rosner
Les Initiés / The Wound
Drame sud-africain de John Trengove
Musique : João Orecchia
L'Eveil de la permaculture
Documentaire français de Adrien Bellay
Musique : Robin Darlington
Zeitgeist Protest
Drame français de Christophe Karabache
Musique : Wamid Al-Wahab
Nostos
Documentaire franco-grec de Sandrine Dumas
Musique : Delphine Ciampi
Glory / Slava
Comédie dramatique bulgare de Kristina Grozeva et Petar Valchanov
Musique : Hristo Namliev
L'Affranchie / La Ragazza del mondo
Romance italienne de Marco Danieli
Musique : Umberto Smerilli
Interview B.O : Éric Toledano & Olivier Nakache, le sens de la musique
Interview B.O : Eloi Ragot, du thriller au burlesque en pleine forêt (JOUR DE MERDE de Kevin T. Landry)
Cessez-le-feu
