Bertrand Burgalat retrouve Élise Girard après "Belleville-Tokyo" (2010) avec une partition évitant toute surenchère, s'accommodant de l'économie de moyens du film, avec des notes dissonantes convenant à cette romance désaccordée, et un aspect fantaisiste qui participe au burlesque discret du film.
[© Texte : Cinezik] •
Tracklist (de la BO en CD ou Digital)
1-13 : Autres musiques de films
1. Mater Admirabilis (From 'Miroir mon amour') 4:28
2. Arrow in the Wall (From 'Quai d'Orsay') 3:07
3. Girl in Your Raindrop (From 'Quai d'Orsay') 3:39
4. Step on the Gas! (From 'Quai d'Orsay') 3:56
5. Dynamite Behind You (From 'Quai d'Orsay') 3:14
6. Rosa Mystica (Générique début) 1:29
7. Sombre fruit (From 'Rosa Mystica') 1:34
8. Rosa Mystica (Générique fin) 1:19
9. Tout de suite maintenant (Générique début) 2:13
10. Le bureau (Bienvenue chez Abefi) (From 'Tout de suite maintenant') 0:32
11. Je ne reviendrai pas (feat. Julia Faure) (From 'Tout de suite maintenant') 2:30
12. Usine Intrion (From 'Tout de suite maintenant') 0:41
13. Gare du Nord dix heures du matin (feat. Julia Faure) (From 'Tout de suite maintenant') 4:47
14-25 : Drôles d'oiseaux
14. Drôles d'oiseaux (Générique début) 1:44
15. Berlioz (From 'Drôles d'oiseaux') 0:49
16. De Notre-Dame au Pont Voltaire (From 'Drôles d'oiseaux') 0:40
17. Georges (From 'Drôles d'oiseaux') 0:48
18. Virginia Woolf nucléaire (From 'Drôles d'oiseaux') 1:18
19. Conversation (From 'Drôles d'oiseaux') 1:19
20. Parc de Saint-Cloud (From 'Drôles d'oiseaux') 0:55
21. Casier rouge (From 'Drôles d'oiseaux') 1:24
22. De Palma (From 'Drôles d'oiseaux') 0:47
23. Librairie (From 'Drôles d'oiseaux') 0:41
24. Sifflement (From 'Drôles d'oiseaux') 0:36
25. Drôles d'oiseaux (Générique fin) 4:45
Bertrand Burgalat intervient dans un second temps. Il a lu le scénario. On en a parlé mais intervient au cours du montage. Il voit une première version et commence à composer. Pour ce film, nous avions l'idée d'aller au studio Melodium à Montreuil qui possède des instruments des années 70 qui correspondent au son que l'on recherchait. J'avais dit à Renato aussi bien qu'à Bertrand que je cherchais quelque chose qui soit à la fois très moderne et très ancien, que l'imag et la musique comportent une étrangeté immédiate, dès le générique, et qu'elles donnent la tonalité au film que l'on va voir.
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