FRANKENWEENIE marque la quatorzième collaboration entre Danny Elfman et Tim Burton. Ce film d'animation est une nouvelle version du court-métrage réalisé en images réelles par le cinéaste en 1984 et dont la musique avait été composée par David Newman.
En lire plus sur cette B.O (par Benoit Basirico)
[© Texte : Cinezik] • 5099923269651
Tracklist (de la BO en CD ou Digital)
1. Frankenweenie Disney Logo
2. Main Titles
3. Mr. Burgermeister/Noses Meet
4. Game of Death
5. The Funeral
6. Electricity
7. Re-Animation
8. Sparky s Day Out
9. Dad s Talk
10. The Bride/Edgar Knows
11. Invisible Fish/Search for Sparky
12. A Premonition
13. The Speech
14. Mom s Discovery/Farewell
15. Getting Ready
16. Making Monsters
17. Pool Monsters Attack
18. Mad Monster Party
19. Final Confrontation
20. Happy Ending
21. Alternate Main Titles (Bonus Track)
22. Over the Fence (Bonus Track)
"Strange Love" - Karen O
(présent en générique de fin)
Praise Be New Holland - Winona Ryder
(que chante dans le film Elsa/Winona Ryder)
(en digital dés le 14 août 2012)
ATTENTION : Hormis les deux titres cités ci-dessus, aucune autre chanson de cet album ne figure dans le film.
1. Strange Love - Karen O
2. Electric Heart (Stay Forever) - Neon Trees
3. Polartropic (You Don't Understand Me) - Mark Foster
4. Almost There - Passion Pit
5. Pet Sematary - Plain White T's
6. With My Hands - Kimbra
7. Everybody's Got a Secret - AWOLNATION
8. Immortal - Kerli
9. My Mechanical Friend - Grace Potter featuring The Flaming Lips
10. Lost Cause - Imagine Dragons
11. Underground - Grouplove
12. Building a Monster - Skylar Grey
13. Witchcraft - Robert Smith
14. Praise Be New Holland - Winona Ryder
Victor Frankenweenie décide de ramener à la vie son chien. Il emploie pour ça les techniques scientifiques les plus avancées, et souvent les plus terrifiantes...
Avec Charlie Tahan, Winona Ryder, Martin Landau...
Animation
(Etats-Unis)
Distribution : The Walt Disney Company France
Frankenweenie (Danny Elfman), nostalgie de l'enfance et hommage aux films de monstres
[ par Benoit Basirico]
Ce qui frappe à l'écoute de cette musique sur disque ou lors de la vision du film, c'est son caractère un brin désuet et son apparente limpidité, son minimalisme et sa grande fluidité, comme si tout allait de soi, avec évidence, avec la sensation d'une partition anachronique et en même temps universelle. Cette musique réveille les morts comme Victor réussite le chien Sparky, elle convoque le cinéma de Burton ainsi retrouvé.
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